Un autre évènement a été ignoré : celui d’un charcutier « piégé » par l’ANPE, qui a voulu l’obliger à embaucher un maghrébin alors qu’il avait déjà pourvu le poste. Passé en procès, il a dû payer 4000 euros à sa prétendue victime. Dernièrement il s’est fait tabasser par une bande de « jeunes » et se retrouve à l’hôpital. Le raciste, c’était lui, bien sûr. La victime, c’est le maghrébin qui n’a pas eu le job, sachant qu’en plus, notre charcutier lui avait trouvé un autre emploi.
Où va la France ? Racistes, antisémites, homophobes, odieux colonisateurs, les Français n’en peuvent plus d’entendre nos politiques faire leur mea culpa à leur place. Notre image devient celle d’odieux salauds qui doivent à tout prix se repentir. De victimes, nous devenons oppresseurs, et le résultat est que des noirs qui tuent un gendarme blanc trouvent cela normal, car c’est un envahisseur. Avant d’être juif, Ilan Hallimi était français. Il vivait, travaillait en France. Son tortionnaire est un Africain que nous avons accueilli sur notre sol. Multirécidiviste, mais sans doute en liberté pour bonne conduite. Sans doute touchait il des aides : RMI, CMU, allocations diverses. Est-ce être raciste que de dire que cette bête sanguinaire n’a rien à faire chez nous ? Comment a t-on pu brader la nationalité française à une ordure de cet acabit ?
Les Français ne s’y trompent pas. Ils sont les premiers à dénoncer ce meurtre invraisemblable. Ils auraient voulu, tout de même, que la religion juive du pauvre Ilan ne soit pas un prétexte de plus à les culpabiliser. Ils auraient voulu que le meurtre du gendarme blanc prenne autant de place dans les médias, car il n’y a pas de victimes plus victimes que d’autres.
Ils voudraient que notre administration cesse de favoriser injustement tout ce qui peut porter tort aux Français de souche, considérés comme d’affreux méchants bourgeois en opposition avec les « pauvres immigrés ». Ils voudraient que nos élus cessent de nous présenter comme des tortionnaires alors même que dans notre propre pays ce sont les fripouilles qui font la loi : les émeutes de banlieue ont eu pour résultat des crédits, des aides que les simples Français pauvres n’auront jamais parce qu’ils ne brûlent pas de voiture et ne caillassent pas des policiers.
J’accuse notre gouvernement de travailler contre la France et les Français.
J’accuse notre gouvernement de travailler contre la justice et la liberté.
J’accuse les médias de fermer les yeux par lâcheté, au nom du politiquement correct.