fâché par le rapprochement d’Euronext avec le New York Stock Exchange (NYSE) plutôt qu’avec la Deutsche Börse de Francfort, vous avez aujourd’hui même, à Rheinsberg, exprimé votre déplaisir en ces termes :
“Je privilégie la solution franco-allemande pour des raisons de principe et je regretterais que cette solution ne soit pas définitivement adoptée”.
Monsieur le président, sans vouloir vous offenser outre mesure, je me demande sincèrement s’il ne serait pas temps pour vous, après bientôt douze années de service commandé, de prendre enfin une légitime retraite !
Librement !