par Sur le plan politique, Pascal Salin cite le cas désespéré de Pierre Méhaignerie, président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, dont le courage politique s’arrête là où commence la sainte trouille de déplaire à l’Opposition de toutes les gauches.
Je cite M. Méhaignerie : “Faut-il prendre le risque de subir jusqu’à l’élection présidentielle le slogan “Tout pour les riches ?”. Je ne crois pas”. M. Méhaignerie fait ici allusion à l’obsession gauchiste du “cadeau fait aux riches” qui trouble tant le sommeil des bien-pensants.
Conclusion de Pascal Salin : “Ce qui est choquant n’est donc pas que l’on puisse diminuer ou supprimer les droits de succession dans certains cas étroitement définis (Ndlr, à l’instar de l’ISF), mais que M. Méhaignerie et ses semblables n’aient pas encore adhéré au Parti socialiste“…
L‘irruption de la Société civile dans l’arène politique abâtardie qui, aujourd’hui, est la règle en France, m’est un vrai délice que je me fais, très modestement, un devoir de faire partager à mes frères en libéralisme : en effet, la reconquête de la Liberté par la Société civile passe aussi par l’Internet.
Librement !
