En 2006, le Deutsche Oper, à Berlin, déprogramme cette oeuvre de Mozart au motif apeuré que certaines scènes de son opéra, aujourd’hui jugées blasphématoires envers l’islam, seraient alors source de représailles.
Conclusion : en Europe, au XXIème siècle, terrorisés par une religion elle-même largement fondée sur la terreur divine, nous adoptons de nous-mêmes une posture avilissante de dhimmi en puissance !
Mais Angela Merkel, chancelier d’Allemagne, s’interpose et déclare : “Nous devons faire attention à ne pas reculer toujours davantage face à la peur créée par des islamistes radicaux prêts à commettre des violences”.
Après avoir pris hier, bien seule, la défense de Benoît XVI, Mme Merkel prend à nouveau le contre-pied de la pensée unique ambiante qui, lâchement, nous incite à nous coucher devant l’obscurantisme islamique…
A ce train d’enfer, l’Europe, ventre mou de l’Occident, va bien finir par devoir le salut de son âme à toutes celles qu’il a lui-même trop souvent traitées par le mépris : les femmes !
Librement !