Dernière en date de nos couilles molles institutionnelles à s’exprimer sur la question, Dominique Strauss-Kahn dit DSK :
“Ce qu’écrit ce professeur, je ne l’aurais pas écrit (…) Mais peu importe ce qu’il a écrit, ce qui compte dans notre pays, c’est la liberté de penser et la liberté d’enseigner“.
Avec tout le respect que je dois à celle haute personnalité socialiste mais néanmoins couille molle, c’est quand même sacrément faux-cul de dire ça froidement, sur France Inter, et de repartir tranquille comme Baptiste, sa conscience soulagée en bandoulière !…
Librement !