S‘agissant de feu le dictateur chilien, je n’aurais garde, pour ma part, d’omettre qu’il a rendu un très grand service à son pays en liquidant le socialo-communiste Allende qui tentait, à l’époque, d’instaurer au Chili un régime de type castriste.
Aussi, à la mort prochaine de Fidel Castro, serai-je moi-même fort soulagé d’assister à la libération sans conditions du peuple cubain tenu, depuis plus de quarante ans, sous le joug stalinien du monstrueux criminel des tropiques que l’on sait.
Librement !