La misère est leur Satan. Un Pakistanais transforme-t-il une jeune femme qui refusait ses avances en torche vivante? Les sociologues de la misérable Ligue des Droits de l’Homme y voient la preuve de «la violence et de l’archaïsme des rapports de sexe dans lesquels vit encore la société française». Combien de litres d’essence faut-il acheter pour brûler dix mille voitures, deux cents autobus, vingt écoles, des gymnases de cinq cents mètres carrés, des églises, des poubelles, de grandes et de petites surfaces, des boutiques, deux synagogues? Dix mille, vingt mille, cent mille? À plus d’un euro le litre, mettre le feu aux banlieues coûte très cher: ça exige investissements, logistique, modes d’approvisionnement sûrs, qui sont hors de portée des pauvres. Seuls les nantis peuvent s’offrir autant de litres d’essence. Quand ils se pavanent devant les cameras, ils arborent les signes de la richesse: vêtements griffés et casquettes de marque.
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