“Dans mon soutien à Nicolas Sarkozy aux deux tours de l’élection, la promesse d’une rupture en matière de politique étrangère avait beaucoup compté. Or, Hubert Védrine, archétype de la traditionnelle «politique arabe de la France », est pressenti au Quai.
Résultat ? Je ne voterai pas aux législatives et je conseille à mes enfants, dès aujourd’hui, d’envisager leur avenir ailleurs qu’en France.”