Une perspective que peu de leaders français comprennent, à commencer évidemment par Besancenot, de plus en plus un idiot utile de l’islamisme radical (qui lui fera la peau lorsqu’il n’en aura plus besoin…).
On sait pourquoi : par un esprit de supériorité paradoxal ces leaders restent persuadés que les principaux malheurs du monde (climat compris) vient de l’Occident, ce qui lui donne toujours la primauté, mais cette fois dans le mal.
Jamais, l’autre, l’islamiste, le russe néokgébiste, ne sont inquiétés ou si peu (en tout cas l’islamiste) puisqu’ils ont sans doute de bonnes raisons de s’emporter contre un Occident néolibéral et sioniste.
Il serait peut-être temps de penser autrement.
Déjà en appelant un chat un chat, et non en noyant l’islamisme radical dans la vague notion de terrorisme qui en masque l’aspect totalitaire, à la différence d’un terrorisme basque qui ne vise pas, jusqu’à preuve du contraire, la domination mondiale.
Or, en refusant d’admettre qu’il faut mener aussi une lutte idéologique en montrant comment l’islam intégralement pensé et réalisé peut être nocif, le monde libre ne fait qu’alimenter celui-ci dans sa volonté de s’affirmer comme seule alternative possible à toutes celles et à tous ceux qui, lobotomisés par la culture nihiliste qui sévit dans le monde libre.