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Sans doute à la façon de l'affaire Lyssenko ou de cette pseudo-science supposant au 19ème siècle qu'à plus de cent à l'heure les poumons et cerveaux humains exploseraient, l'actuelle hystérie climatique stipulant tout et son contraire s'écroulera d'ici quelques années toute honte bue.
Sauf que pendant ce temps le delirium tremens bat son plein, le dernier hoquet en date étant que l'accroissement de neige actuel serait conséquence dudit réchauffement alors que rien ne le prouve sinon des "suggestions" (au sein même du lien précédent renvoyant à un article d'Europe1) et qu'il y a dix ans il s'agissait plutôt de sa raréfaction.
Et comme tout millénarisme celui-ci reste culpabilisant, sermonneur, vengeur, redresseur de torses, pariant que d'ici 2030 tout serait plié si rien ne se passe, faisant peur pour forcer à adopter de nouveaux comportements bien loin d'une attitude responsable envers l'exploitation des ressources et la lutte contre les pollutions puisqu'il s'agit plutôt de forcer les peuples à faire moins d'enfants à ne plus manger de viande à aller à pied ou dans des transports vétustes et bondés.
Le paradoxe est d'ailleurs là : au lieu d'attendre que les transports publics, le télé-travail, le télé-enseignement soient à niveau, l'obligation de ne plus utiliser sa voiture (alors que les transports n'y sont pour pas grand chose dans ledit réchauffement) devient un nouveau mantra comme une marque chauffée à blanc pour tatouer l'adepte béat de cette nouvelle croyance bêtifiante.
Les générations du futur se demanderont sans doute comment des centaines de milliards ont pu être dépensés en pure perte alors que tant de pays dont les populations migrent auraient aimé voir cette manne investie pour construire puits et constructions anti-sismiques, pour enfin éviter misère et ignorance.
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