13 janvier 2025

La formation industrielle de décérébré(e)s

L’énorme étron craché par la si fausse saltimbanque Hapsatou Sy défendant, justifiant, en gros (plan vidéo), ré(re)pètant les arguments cour de récré de l’agresseur larmoyant d’Éric Zemmour le tout avec tant d’assurance, de brutalité verbeuse, de vulgarité (même pas de grossièreté) tannée par de longs séjours dans les salons canailles du pouvoir bobo-gaucho toute cette emphase fadasse  illustre seulement, en creux, dans son registre “bas”, celui de la farce tressée de verve imbécile, misérabiliste et victimaire (“parce qu’il n’aurait pas les mêmes moyens intellectuels“) la montée ou la descente en degré de la nullité générale ambiante qui atteint de plus en plus toute la classe politico-médiatique (hormis quelques louables ou opportunistes exceptions).

Elle continue cependant à pérorer parce que nous le voulons bien abasourdis sans doute que l’on puisse ainsi de plus en plus admettre que des comportements à tel degré zéro soient autant justifiés alors que provenant de feu “skinheads” ils auraient été signalés comme preuves absolues du retour de la “bête immonde”.

Cela fait aussi penser à tous ces gens qui au moindre tag anti-musulman ou attentat létal de même acabit s’empressent de les mettre en avant comme pour contrebalancer les morts infiniment plus nombreux du djihadisme mondial, excusant ces derniers du fait qu’ils soient “dominés” (intellectuellement tout autant)  condamnant alors les premiers, moins parce qu’ils agressent ou assassinent (puisqu’ils excusent les djihadistes) que parce qu’ils émettent de fait le refus de la “paix” islamique posée comme fait civilisationnel supérieur ; Mélenchon par exemple regrettant qu’elle n’ait pas été appliquée plus tôt oubliant que dans ce cas il aurait été pendu haut et court s’il avait eu le malheur de la malmener.

Que fait Zemmour sinon contester en “gaulois réfractaire” la présence de certains lorsqu’ils refusent d’admettre que la France n’est (toujours) pas un terrain vague corvéable et maniable sans souci, ce qui fait que l’on ne voit (toujours) pas au nom de quoi certains se permettraient des choses qui seraient impossibles non seulement de faire mais même de penser dans les pays respectifs d’origine de Madame Sy et de l’agresseur (au faible Q.I selon ses dires) qu’elle soutient ainsi si vertement.

En même temps ce débat, celui d’admettre encore que tout cela soit mis sous le boisseau, reste d’acuité, il est même devant nous.

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