Les couvre âmes aboient traquent parquent
Dans les cuisines désormais prisons pour vieux
Le “reste” des animaux humains, masqués confinés
autour d’un sapin de plus en plus inutilement las
Avec cette exigence officielle d’en finir
définitivement avec tout virus
comme autrefois la misère dans le monde
Pour toujours toujours dans tes draps bleus froissés
Mais cinq heures du mat quoique vacciné je désespère
Et moi et moi cinq cent millions de chinois
Dominion sur Maduro cela fait cher l’hologramme Biden
La “Potemkinisation” du monde est bien en marche
Merci petit papa Noël quand tu descendras du ciel
Avec des bulletins de vote par milliers
N’oublie pas mes petits souliers…
Les hyènes sont de sortie comme dans le roi Lion
elles traquent le “complotiste” cette faune étrange
qui croyait être encore libre et que la laïcité c’était justement cela
ou comment faire émerger des esprits affranchis
capables de comprendre que la vérité rend libre.
Et ainsi illumine le monde comme autrefois à l’entrée de New York
avant que la Statue ne soit désormais fermée à jamais
parce que “le” Virus rôde, la Bête à la recherche de la Belle
si elle se démasque pour lui échapper, courant, âme déchirée,
dans les rues désertes, avenues innombrables jonchées de débris (post) humains.
Les hyènes systémiques y exultent, bave sémiotique en érection elles éructent.
Lorsque, soudain…