Un chiffre intrigue toujours, le faible nombre de morts lié à C-19 en Chine (4634) sans qu’aucune instance, aucun gouvernement de par le monde ne demandent des comptes au régime chinois ; comme si cela allait de soi (et sans même parler de l’origine même du virus…) ; alors que jour après jour le gouvernement français légitime ses décisions de plus en plus coercitives (pour une maladie bénigne devenue saisonnière touchant mortellement en France autour de 0,090% de la population et majoritairement peu dangereuse comme l’indique ce tableau Google -à droite en bas de la carte) en prenant toujours en exemple le nombre de morts en hausse dans tel ou tel pays, omettant cependant d’observer que le pays à l’origine de ce virus ne connaît aucune “énième” vague, alors que des images tournées cet été et provenant de la région touchée au printemps dernier montraient une foule faisant la fête dans une piscine sans masque ni distanciation, curieux non ?…
Par ailleurs, de plus en plus d’accusations aux US et ne provenant pas seulement du camp Trump expliquent que le PC chinois serait (in)directement intervenu dans les élections via diverses corruptions dont la manipulation électronique de votes, faisant de Biden un nouveau Maduro ; mais comme les preuves, devant être montrées sous peu paraît-il, ne relèvent pas de la juridiction de la Cour Suprême, seuls les tribunaux militaires seraient habilités à le faire selon Radio Québec aux dernières nouvelles. Ce que reprennent également plusieurs commentateurs dont ceux de Riposte Laïque.
Vous imaginez alors les enjeux si tout cela est vrai, si tous ces évènements sont indépendants ou/et convergent vers ce point donné, de plus en plus officiel d’ailleurs (Forum de Davos) ledit “Grand Reset“ (voir d’ailleurs cette parodie dite “pour les nuls”), point nodal pertinent tant cet objectif édicté donc sur le mode de plus en plus clair dévoile très clairement la disproportion grandissante entre les mesures sanitaires prises, de plus en plus destructrices économiquement et psychiquement (tout en continuant à fermer des lits d’hôpitaux en France) et la réalité de plus en plus saisonnière (et bénigne) d’une maladie qui amorce sa seconde année, du moins si l’on compte depuis l’été 2019 (comme le pense le Pr Toussaint) ce qui expliquerait déjà pourquoi la région italienne de Milan en fort contact industriel avec la Chine ait été touchée bien avant la France à l’époque, la première n’ayant par ailleurs déclarée “officiellement” la chose qu’en…novembre 2019….
En tout cas et pour résumer afin de lier tout ce qui se dit ici, élections US, la C-19, enfin ce G-R, observons que la manipulation des élections US ne serait qu’une partie du puzzle : l’idée centrale du G-R avait besoin d’un outil comme faire peur avec un virus somme toute bénin, du moins pour la grande majorité de la population, mais monté en épingle médiatiquement et politiquement, alors qu’un système sanitaire à niveau, traitements précoces compris, pourrait le contenir disent certains spécialistes de haut niveau; sauf qu’ils sont aujourd’hui de plus en plus pourchassés et menacés de voir leur carrière brisée, tout comme ce fut le cas dans les années 2000 via ledit ClimateGate (toujours en cours); le tout donc afin d’entamer ce vaste mouvement de restructuration mondiale programmée par des idéologues affairistes et nihilistes et ce bien sûr au nom de “la” Terre ; ce qui renvoie, en plus de la cupidité véloce sous-jacente à voir les milliards engloutis inutilement comme l’indique Bjorn Lomborg, à un mysticisme panthéiste certes sécularisé mais ô combien dangereux pour la démocratie républicaine (politeia, politie) c’est-à-dire l’avenir des peuples à la fois dans leur choix constitutionnel et pour l’altérité toujours nécessaire ou la réelle mondialisation humaniste qui s’affine universellement par la confrontation des singularités et des particularismes cherchant toujours néanmoins à préserver leur continuité symbolique (au sens large : langue, imaginaires, institutions).
Concernant enfin et plus spécifiquement les élections US, Paul Rhoads n’a pas tort lorsqu’il explique ici que la Cour Suprême aurait pu prendre en compte la plainte déposée par le Texas (soutenue par plusieurs États mais contestée par d’autres) car cette récrimination ne pointe pas du doigt la manière dont les six États montrés ainsi du doigt organisent leur système électoral mais uniquement le fait que ce dernier peut influer sur l’élection présidentielle qui concerne, elle, tous les États.
C’est un point juridique fort qui a été cependant contourné par la Cour Suprême en laissant alors entendre, comme le pense Alexis Cossette de Radio Québec, qu’étant donné l’espèce de souveraineté électorale des États, d’une part, et le fait qu’il n’y ait pas jusqu’à présent de démonstration effective c’est-à-dire juridique que l’élection ait été biaisée, d’autre part, alors la Cour Suprême ne pouvait qu’écarter la plainte du Texas en la considérant comme irrecevable civilement ; mais dans ce cas l’on tourne en rond puisque aucune juridiction ne veut valider les preuves pourtant à foison (et assermentées) en stipulant qu’il n’y en aurait pas “assez” ce qui est irrecevable également ; laissant alors la porte ouverte, au cas où ce second point serait, lui, tout de même avéré, à ce qu’une autre procédure, pénale celle-là, s’enclenche; jusqu’à cette idée stipulant que cela pourrait également aller jusqu’à la mise en danger de la “sécurité nationale” s’il est démontré, par exemple, et comme le pense Sydney Powell, que le système Dominion (dans lequel le régime chinois aurait récemment investi) aura été le facteur décisif, bien plus que les autres fraudes “classiques” (manque de signatures, doublons, bulletins par correspondance postérieurs au 3 novembre, ou post mortem…) puisqu’il aurait permis de faire basculer plusieurs millions de votes de Trump vers Biden dont le mécanisme est montré par certaines vidéos…
Finalement, de deux choses l’une à ce stade : soit tout cela, le lien entre les trois points (C-19, G-R, élections US), ne serait que du “complotisme” fabriqué de plus en plus par des intellectuels ratés, des mauvais perdants et des seconds couteaux en mal de reconnaissance (Sydney Powell, Rudy Giulani…) entraînant dans ce cas toute la tendance mondiale dite “patriote” refusant ce “grand reset” à manger son chapeau en attendant des jours meilleurs ; soit ces derniers ne reviendront jamais étant donné que désormais ils ne peuvent pas revenir puisque tout le “système” s’avère vérolé, à la base ; c’est alors, et pour le coup, et bien à propos cette fois, proprement systémique ; en ce sens où il ne s’agirait pas seulement de manipulation informatique à la Maduro (Senders en aurait d’ailleurs payé le prix contre Hillary Clinton aujourd’hui contre Biden) mais de manipulation médiatique, morale et politique de haut vol et sur le temps long ; ce qui est alors la plus vaste offensive idéologique contre le régime démocratique depuis l’avènement du léninisme, du fascisme du nazisme et de l’islam djihadiste (réinitialisé par le khomeynisme) provenant par ailleurs d’une gentry qui n’a jamais été de culture démocratique mais plutôt marxiste, ou alors aristocratique au sens déviationniste d’oligarchie ploutocratique, ces deux dernières cultures fusionnant sous la houlette “dialectique” du néo-maoïsme affairiste et du tiers-mondisme néo-panthéiste incarnés par le PC chinois d’un côté, Soros-Gates-ONG écolos de l’autre ou les deux faces désormais de la même médaille totalitaire celle du néo-ésotérisme et du global care post humaniste.
Pendant ce temps, les médias serviles sommeront non seulement Trump de “concéder” (alors que les Grands électeurs contestés n’ont pas été certifiés dans les règles -et puis il ne sert à rien de recompter des bulletins vérolés -on verra bien d’ailleurs le 6 janvier) et sommeront aussi toutes les populations de se “masquer” et d’accroître la “distanciation sociale” les traitant d’égoïstes si elles ne le font pas alors que c’est bien le contraire qui est vrai, en particulier s’agissant des jeunes enfants (voir cette vidéo poignante ici) : c’est par égotisme en effet que les “vieux” montrent du doigt les “jeunes” les privant ainsi et cruellement de toutes les joies alors qu’ils ne sont guère sujets à mourir de cette maladie là (à la différence des grippes de 1957 et 1969) comme si cette génération finissante des Trente Glorieuses, après avoir raté sa révolution en 68 (qui n’a fait qu’inverser les extrêmes) voulait tout détruire derrière elle à l’approche de sa mort réelle accusant la jeunesse d’y être pour quelque chose tant son antihumanisme primaire en vient jusqu’à nier le fait qu’elle a (dé)fait son temps : game over.
Nous en sommes là, hélas. Mais le pire n’est jamais sûr, et, surtout, pérenne, heureusement, à moins que celui-ci aussi ne devienne “durable”…