En décidant de supprimer lui aussi le majestueux sapin de Noël qui trônait tout illuminé chaque année quai Fulchiron en face de l’église St Georges sous le prétexte qu’il serait un “arbre mort” (les maires de Lyon imitant ainsi celui de Bordeaux) ces “écolos” se comportent en parfaites images de synthèse déambulant dans le monde de Barbie revisitée bien sûr sur son vélo ou en jogging croisant des véhicules utilitaires tout électrique livrant les commandes effectuées en très grande majorité sur les plate-formes globales qu’il est désormais aussi difficile de critiquer que le taux “d’incidence” des “cas”; un monde de plus en plus virtuel donc où tout ce qui est vivant ou mort est remplacé par du Simulacre, jusqu’à la culture et le sport : à la fermeture des piscines se substitue en effet celle d’une visite virtuelle des “baigneuses et baigneurs” de Picasso.
Espérons que tous ces maires interdiront tout “bois”, chaises, sapins en bois y compris, ce qui n’est étonnement pas le cas, et donc interroge, en particulier sur cette sorte d’avarice symbolique qui vient rayer d’un trait de plume des centaines d’années d’Histoire ; un piétinement méprisant qui est de plus en plus l’équivalent d’un autodafé.
Certes, l’on ne brûle pas des livres, mais “on” les montre du doigt et leurs auteurs sont molestés, interdits (ou la mort sociale, médiatique) et des symboles sont tout de même supprimés, brisés, broyés, c’est bien l’équivalent de la destruction des statues des Bouddha en Afghanistan, des statues de saints dans les Églises durant les moments de “Terreur”, en France comme en Russie ; ne parlons pas des cimetières juifs ou chrétiens aux symboles mis à terre par poussée intermittente (entre deux égorgements et trois coups de couteau) ; même si, en effet encore, ce n’est pas tout à fait du même niveau, du moins en apparence…
Un arbre de Noël après tout cela ne consacre qu’une légende tressant étoiles éclaircies forêts bergers Jésus et le miracle d’un jeune sapin non écrasé par “ces chênes que l’on abat” ; ce qui a toujours sidéré hypnotisé séduit le roseau qui doute en nous quoiqu’il en pense dans sa prudence de sioux à ainsi ne rien dire, laisser faire, chut, “cela reste très minoritaire”, chut, tous ces symboles ancestraux maillant nos mondes intérieurs et que l’on brise de plus en plus pour laisser la place à d’autres univers…
Car ce n’est décidément pas “juste” que cette “fête de fin d’année” soit accaparée ainsi par ce seul “Noël”, et un jeune musulman qui voulait le fêter parce qu’après tout Jésus est reconnu au moins comme prophète dans sa doctrine, eh bien non il n’a pas le droit non plus et s’est fait même tabassé; le pompon étant que le procureur, écolo-Barbie sans doute, et jouant au psy aussi, a été jusqu’à récuser la version de ce jeune (dont la mère est policière) que nombre de prétendus “médias” maniaient déjà avec des pincettes (jusqu’à La Croix…) épiant le moment où ce jeune allait sûrement se rétracter (les hyènes recherchistes en “faux” s’en léchaient déjà les crocs) sauf que l’agresseur l’a justifiée (l’ayant traité aussi de “blanc de merde” ou la version dite “bounty” des BLM ou des IDR) et à moins de sombrer dans une théorie du complot tirée par les cheveux (agresseur agressé complices) il a bien fallu s’en sortir avec cette histoire “d’Ego” proposé par le procureur écolo-Barbie et psy à ses heures perdues (mais bien payées) ; et alors le silence a fait place, celui de la tombe, silence, on tourne, dans cette tombe où nous font tomber en trombe nos “tombeurs” tant ils sont si bons à emmener le troupeau au bord de la falaise et lui sommer de sauter (sur le vaccin) tapis volant, mais oui, en lui susurrant que tout cela est fait pour son bien.
Une époque fantastique.