Un vent mauvais souffle, un vent de folie s’empare du pays
Rien ne semble vouloir l’apaiser.
Une panique est organisée, systématisée, relayée, du matin au soir, du soir au matin, jour après jour, semaine après semaine. Et ce serait destiné à durer, des mois, des années, rajoute ce membre du conseil scientifique.
On entend, du matin au soir : le virus circule ! Le virus circule, masquez-vous ! Distanciez-vous !
Masquez-vous, tout le temps, partout, à pieds, à vélo, à cheval, en voiture même, en métro, en avion, partout, en forêt aussi, ainsi qu’au sommet des montagnes, sinon… sinon gare ! On a des moyens de vous obliger : on va vous taxer pour commencer et vous réduire au silence.
Je m’adresse à cette assemblée d’hommes et femmes libres derrière ce chiffon, sous ce symbole d’une remise générale en esclavage ; sous cet accoutrement ridicule forcé, que nous, que vous, que moi, femmes et hommes libres, devons porter sous peine de harcèlement policier et de ruine de nos modestes finances.
Amis, nous sommes tombés à la merci d’une clique qui a perdu toute mesure et raison, nous sommes comme prisonniers.
Le Pays est devenu une vaste geôle, avec ses matons et, demain ou tout à l’heure, avec ses délateurs, fruits pourris de la peur sciemment entretenue.
La France est devenue un vaste camp d’internement de 550000 kilomètres carrés auxquels il convient d’ajouter départements et territoires d’outre-mer.
Pourquoi ce sinistre civilisationnel ?
Pourquoi cette frayeur irrationnelle ?
Pourquoi cette mascarade grotesque et totalitaire ?
Pourquoi ce tintamarre, à chaque instant, sur toutes les chaînes télévisées, sur toutes les radios, dans tous les journaux et aussi dans les publicités de toutes natures ?
Parce que le « virus circule toujours » ! Parce que le virus circule, le virus circule… mais combien de malades graves, combien d’hospitalisations ? Combien de décès dus, effectivement, au virus C19 ? De ce côté-là, c’est plutôt le calme plat.
Je disais « dus effectivement », parce que je ne peux pas faire comme si un sénateur américain, médecin en exercice de sa profession, n’avait pas parlé devant les élus de la nation américaine et comme s’il n’avait pas dénoncé les pressions, que je ne sais trop comment qualifier, pour qu’il déclare, comme étant morts du C19, de ses patients décédés pour de toutes autres raisons, dés lors que ces patients–là avaient été dépistés « positifs » au C19.
Le cas a aussi été signalé, sur LCI je crois, par un auditeur : un de ses parents mort de son cancer ayant été déclaré décédé du fait du « covid ». Un médecin hospitalier vient de s’adresser, publiquement, par vidéo, à la profession et aux autorités, pour dire et dénoncer le fait que l’on a gonflé les chiffres et déclarés décédés du C19 des personnes tuées par un accident automobile, ou morte d’un cancer, parce que, comme dans le cas donné par ce sénateur et médecin américain, le défunt avait été dépisté positif au C19.
Je disais, dus effectivement, parce que je ne puis faire, penser et dire, comme si le docteur Wajsbrot n’avait pas écrit à l’ordre des médecins et comme s’il n’avait pas dénoncé dans ce courrier les menaces visant à lui interdire d’exercer son métier pratiqué depuis des dizaines d’années, parce qu’il avait osé soigner et qu’il avait eu l’outrecuidance de guérir des dizaines de ses patients atteints du C19.
Le pouvoir et son conseil scientifique ayant déclaré qu’il n’existait pas de traitement, alors le docteur Wajsbrot devait cesser de dire qu’il soignait ses patients atteints du C19 et qu’il les avait guéris…
Je disais décès dus effectivement, parce que je n’ai pas oublié les 5000 personnes âgées vivant en EPHAD, séquestrées, interdites de visites et de sorties, et qui –faute de moyens (lits et respirateurs artificiels) – ont eu droit à la piqûre autorisée par le décret signé de la main du ministre Véran ; piqûre les envoyant, en trois heures, paisiblement, rejoindre leurs ancêtres.
Dans la nuit du 2 au 3 septembre, une émission télévisée a donné la parole aux parents et proches de personnes hospitalisées et décédées du C19.
Affreux, honteux, il n’y a pas d’autres qualificatifs – me semble–t–il – pour caractériser le sort imposé aux défunts et aux familles.
Le droit au rituel a été supprimé
Ce qui est, depuis la nuit des temps, un marqueur de l’humanité, a été suspendu ; les défunts ont été emballés dans des housses, mis en bières scellées, comme s’ils n’étaient plus ni des hommes ni des femmes ayant perdu la vie et devant être traités avec respect ; ils se sont ainsi retrouvés ravalés au statut de cadavre, de viande morte, de charogne.
Ce matin encore, le premier ministre confirmait la poursuite, pour une durée indéterminée, d’un effet du principe de précaution déshumanisant les personnes déclarées victimes du virus et continuant d’interdire, de fait, les mariages, les anniversaires, les obsèques, sans parler des congrès syndicaux et autres réunions solennelles.
Un « principe de précaution », déshumanisant les défunts interdits d’obsèques –, ayant prohibé les rituels religieux et les marques de respect remontant à la naissance de la culture marquant un pas décisif dans le processus d’hominisation, est un principe de précaution dévoyé, un principe de précaution ressemblant à la terreur rouge qui prétendra défendre le pouvoir des ouvriers et des paysans en organisant les pires violences contre les grèves ouvrières et contre les revendications paysannes et enverra mourir dans le goulag, en cinq années (1918-1924), plus de deux millions d’ouvriers et de paysans de la Russie devenue Union Soviétique.
Il n’y a pas très longtemps, quand l’actuel premier ministre a parlé et qu’il a fait déchaîner sa foudre, distanciatrice / confinatrice, à Marseille pour commencer, le nombre de malades graves et de décès attribués au C19, dans cette ville, y était au plus bas ; c’était aussi le taux le plus faible, comparé aux autres villes et régions, néanmoins… Marseille a eu droit au couvre–feu, aux opérations de police, aux descentes musclées et humiliantes, dans les rues et les bars.
Les vexations, les décisions contradictoires, les incohérences, – exemples : à vélo pas de masque, à moto masque obligatoire sous le casque intégral – tout cela relève du mépris le plus absolu pour un peuple, pour une nation, dont chaque membre a perdu, pour combien de temps (?), la disposition de lui-même.
Et tout cela, au motif qu’un virus poursuivait sa circulation, une circulation qu’il faudrait bloquer…par tous les moyens et que la fin justifie les moyens. Vieux débat.
Ce virus, je ne veux pas l’oublier, est un virus que l’on a refusé de combattre médicalement, en laissant les médecins librement prescrire : ici avec le protocole Raoult, là par le traitement du docteur Wajsbrot, ailleurs au moyen du traitement malgache (produit de l’artémise) ou avec des combinaisons des différents traitements, ainsi que l’a fait ce médecin israélien de
l’État de New York ayant soigné et guéri des dizaines de ses patients habituels et d’autres dizaines venus d’autres régions de l’État de New York quand ils ont appris les résultats auxquels il était parvenu, ou ainsi que l’a fait le Docteur Stella Emmanuel et son équipe de l’hôpital de Houston (ayant soigné et guéri plus de 350 patients malades du C19 et menacés pour cette raison).
On a enjoint au médecin israélo-américain d’arrêter de soigner et de guérir, parce que le climat politique délétère aux USA a fait condamner la chloroquine par l’establishment démocrate et par les structures de santé fonctionnant largement dans la mouvance de ce parti.
Ce médecin a envoyé une lettre ouverte aux médias, pour dénoncer les pressions et les menaces directes causées par son obstination à soigner et à vouloir continuer de guérir ses patients malades du C19.
Depuis, on apprend qu’un collègue du Professeur Raoult, le docteur Tattevin, président d’une association professionnelle, s’est plaint auprès de l’ordre des médecins, une institution créée par Vichy. Observons que ce scientifique a déclaré un lien d’intérêt avec plusieurs grands laboratoires, dont le laboratoire Guiléad qui est un des postulants au marché du vaccin C19… Une pure coïncidence certainement ?!
Et de quoi se plaint-il, ce « collègue » du Professeur Raoult ?
Il dénonce des « violations » du code de déontologie, parce que le Professeur Raoult, toujours défendu par le médecin et ancien ministre Douste-Blazy, a guéri de nombreux patients, au moyen d’un produit décrété dangereux, sans autre forme de procès, par la ministre Buzyn suivie par les autorités de santé.
En d’autres termes, le professeur marseillais, ayant conservé sa liberté de pensée, de parole et de prescription – conformément aux principes hippocratiques – devrait être déclaré coupable !!!
Ses collègues demandent qu’il soit cloué au pilori, sanctionné, peut–être interdit professionnellement, pour cette prétendue incorrection vis–à–vis des collègues ayant emboîté le pas au ministre Véran et acceptant – comme parole d’évangile indiscutable – les études bidonnées, les études frelatées, prétendant, mensongèrement, démontrer la dangerosité ou l’innocuité de la chloroquine dans le traitement du C19.
On le voit ici encore, un totalitarisme d’un genre spécial s’est mis en route depuis bientôt neuf mois
Je ne peux oublier, répétons-le, que pour justifier l’interdiction du protocole Raoult, le ministre Véran a pris pour motif « scientifique » de son décret, une étude factice publiée par la revue Le Lancet.
Je ne peux pour ma part oublier, qu’à peine publiée, 135 chercheurs et sommités du monde médical des cinq continents dénonçaient cette étude et que d’autres démontreront peu après le caractère lui aussi factice de l’étude Recovery, opposée au protocole du Professeur Raoult.
Quelques jours après la publication du décret Véran, contre la chloroquine, trois des quatre auteurs de la dite étude – étude financée par un des grands laboratoires se trouvant dans les starting blok de la fabrication d’un vaccin anti C19 – reconnaissaient que leur étude n’en était pas une, qu’elle était bidonnée, qu’elle était un trompe l’œil mensonger.
En clair, les auteurs de l’étude disaient eux-mêmes qu’elle n’était qu’une imposture.
Et c’est cette imposture, dont le ministre Véran, dont la DGS et le conseil scientifique, se sont emparés, pour décréter : qu’il n’existait pas de traitement du C19. Et c’est au prétexte des conclusions de cette imposture qu’ils ont lancé le pays à la recherche du mouton à cinq pattes, à savoir : stopper la circulation du virus, et, pour cela, on a entrepris de disloquer toute vie sociale et réduit les droits d’organisation à n’être plus, pour une durée indéterminée, qu’une fiction ou une caricature gravement mutilée.
A la suite du scandale de la pseudo étude, du côté du ministère, prétendument de la santé, et du côté de ses bras armés, DGS et ARS, on faisait et on continuait de faire comme si l’étude du Lancet et l’étude Recovery (elle aussi démasquée comme étant bidonnée) étaient les preuves irréfragables qu’il n’y a pas de traitement du C19 et que la « crise sanitaire » devait se gérer, doit se gérer, par des moyens de polices, par des moyens destructeurs d’emplois et de vie sociale et scolaire normales.
A l’inverse, ceux qui ont décrété l’inexistence d’un traitement médical du C19 autorisent la prescription d’un médicament, le Remdesevir. Ce médicament produit des effets secondaires indésirables, liés à sa toxicité, dans 67% des cas prescrits.
Une explication, peut-être ?
Ce médicament toxique est produit par le même grand labo -ayant financé une bonne partie des membres du « conseil scientifique », ayant financé le docteur Tattevin (même pour des frais de bouche et des congés)- très actif dans la course au vaccin anti covid 19.
Certains amis pourront s’étonner que des médecins, que des professeurs, sans parler de l’appareil bureaucratique du ministère en charge de la santé, participent à une sinistre pantomime.
Je voudrais, si vous permettez, revenir quelques années en arrière, en m’appuyant sur mon expérience d’administrateur élu du personnel dans un conseil d’administration de caisse primaire d’assurance maladie.
en 1986, il y a eu le plan d’économies dit plan Seguin. Il se traduisait par le réexamen de toutes les situations d’assurés sociaux exemptés du ticket modérateur et remboursés à 100%. C’est ainsi, que dans un contrôle médical de la caisse primaire de l’Essonne, un assuré social est décédé, d’une attaque cardiaque, lorsque le médecin-conseil lui a annoncé qu’il ne serait plus pris en charge à 100%. En réaction à cette mort embarrassante, la CNAMTS a écrit, à tous les médecins conseil, leur demandant de dire les choses avec précaution.
Deux médecins conseil de ma CPAM ont alors écrit à la CNAMTS, expliquant que leur métier n’était pas de supprimer des droits légitimes en disant les choses avec précaution, pour éviter des décès gênants dans les contrôles médicaux.
L’un a été licencié, l’autre a été sanctionné moins brutalement
Il y a eu beaucoup de protestations et de démarches syndicales auxquelles j’ai personnellement participé. J’ai alors rencontré le professeur Paul Milliez qui m’a expliqué ce que le serment d’Hippocrate voulait dire, même pour un médecin salarié par la CNAMTS. J’ai donc demandé que le problème de l’annulation du licenciement vienne à l’ordre du jour du CA de la caisse où je siégeais au nom de plus de 60% des salariés de cet organisme. La direction de la CPAM a accepté ma demande, bien que les deux médecins conseils sanctionnés, travaillant sur cette caisse primaire, relèvent de la CNAMTS et non de la CPAM.
J’ai présenté mes arguments, en m’appuyant sur les fondements déontologiques que m’avait expliqués le professeur Milliez. À cela, le médecin-conseil départemental m’a objecté, en me coupant la parole, que le praticien conseil chassé de son poste n’avait pas suivi toutes les consignes de son employeur, la CNAMTS, qu’il était donc en faute professionnelle.
J’ai repris la parole, lui répondant qu’en opposant, aux impératifs absolus d’un principe multiséculaire – le serment d’Hippocrate – les directives d’un employeur, la CNAMTS et lui–même, en sa qualité de responsable hiérarchique direct des deux praticiens conseil sanctionnés, fabriquaient des docteurs Mengele.
Je ne vous cacherai pas que le médecin-conseil départemental l’a très mal pris. Il m’a coupé la parole : « Quoi ! Médecin Mengele ! Médecins Mengele ! », il répétera cela quatre ou cinq fois, sans autre argument.
Je repris la parole et m’adressai au Conseil d’administration et au médecin-conseil départemental en particulier, en disant ceci : Mesdames, messieurs, Docteur, oui ! Oui, vous fabriquez des docteurs Mengele. Le docteur Mengele et ses semblables n’ont pas commencé leur carrière comme médecins assassins et comme tortionnaires de Juifs, sur la rampe d’Auschwitz et dans un de ces laboratoires où Mengele a fait périr ma cousine Sulamit Ast. Ces hommes avaient suivi des études approfondies. C’étaient des hommes instruits, des « Herr doktor » et des « Herr professor » ; sauf que, sauf qu’à un moment de leur vie, ils ont choisi la raison d’Etat ; ils ont renoncé à la raison médicale selon Hippocrate, et que c’était cela qui était en cause dans les sanctions contre les deux médecins conseils : ils avaient tenu tête à la raison d’État du plan Seguin au nom du serment d’Hippocrate».
Je ne vais pas vous raconter dans le détail presqu’une heure de débat.
Sachez seulement que, bien que le conseil d’administration de cette CPAM ne fut pas l’employeur de deux médecins sanctionnés, il adopta, à l’unanimité, une forme atténuée de la motion que je lui présentais ; le groupe employeur du CNPF s’abstenant, tout en disant comprendre et approuver ma demande.
Quelques années plus tard, j’ai eu à accompagner, devant le médecin–conseil responsable de secteur, un médecin traitant d’Alfortville, le docteur D.
Il était reproché à ce praticien de « trop voir et trop prescrire » aux personnes âgées nombreuses dans sa patientèle. On était alors en plein délire des RMO, les « références médicales opposables ». Je ne développerai pas sur ce point, sauf si certains d’entre vous le souhaitent.
Ce que je puis rajouter, en rapport avec notre affaire de Covid 19 et de comportement face à la vérité obligatoire du gouvernement, c’est qu’ayant été reçu, non sans mal, avec l’intéressé, celui–ci me confiera, à la sortie de l’entrevue : « c’est la seconde fois que je suis convoqué. La fois d’avant, j’étais seul. On m’a alors traité comme un délinquant, comme un voyou. Je fus accusé de prescrire en tant qu’irresponsable. Je ne vous dis pas ce que j’ai aussi entendu, concernant les vieilles personnes que je vois dans mes consultations ; si je vous le disais, vous ne me croiriez pas. Mais cette fois, une fois que vous êtes sorti m’attendre dans le couloir, à cause du secret médical et qu’on a examiné un par un les cas individuels contestés, on m’a dit que j’étais un bon, un excellent médecin, et qu’il n’y avait pas de problème, que tout cela n’était qu’un malentendu, que je pouvais continuer à soigner mes patients âgés de la même façon que jusqu’alors. ».
Pour résumer ces deux exemples : nous voyons que dans ce pays, à tel ou tel moment, la Sécurité sociale et des éléments dans la médecine déclinant des choix politiques ont pu être dévoyés ; de même pour les administrations d’ État de la santé fermant des services, des hôpitaux, supprimant des dizaines et dizaines de milliers de postes, vendant les terrains ou les locaux des grands hôpitaux à des firmes privées.
Il s’est construit une médecine comptable
Dans cette médecine–là, le patient, le malade, n’était plus un être vivant avec ses particularités, il devenait un client ou une cause de dépenses excessives : la santé n’avait pas de prix, mais elle avait un coût.
Revenons une minute sur ce que le Pouvoir et les appareils idéologiques d’État (je veux parler ici des grands médias, à de trop rares exceptions sur LCI et CNews) appellent une pandémie, une maladie mondiale terriblement létale.
Sur LCI, à l’antenne d’Éric Brunet consacrée au masque, un auditeur est intervenu. Il s’est présenté pour s’exprimer à parole découverte. C’est un ingénieur informatique habitant Perpignan. Il donnera ce chiffre qui me fait réfléchir sur la sincérité ou sur l’insincérité de la parole du gouvernement et sur celle de ses diverses annexes.
À Perpignan, donc, ville de 121614 habitants, la pandémie a causé, en tout et pour tout, deux décès, un en mai et un second fin août. Pandémie ?
Tsunami d’un virus si létal qu’il justifie la confiscation des libertés personnelles et collectives ? Deux décès pour 121614 personnes en 6 mois ? Est–ce cela une pandémie pour laquelle il est légitime de sacrifier des professions entières et d’interdire à la jeunesse de vivre sa vie et d’étudier dans des conditions normales ?
Pandémie mondiale particulièrement létale ?
J’ai publié régulièrement les chiffres communiqués par les autorités maliennes de santé : pour 19 millions d’habitants, le nombre de décès C19 n’a pas dépassé 400, du début de la pandémie prétendue à ce jour. Et pourtant, le gouvernement de ce pays, pour ne pas déplaire au gouvernement français, en contrariant son délire « sanitaire », recherchait activement les patients covid19 et traquait les décès lui étant dus…
En France, en août, les chiffres officiels donnent, avec une « reprise exponentielle » de la circulation et des cas positifs au C19 : quatre décès lui étant attribués.
Mais lui sont-ils effectivement dus, ces 4 décès ?
Quatre décès, pour une population de plus de 67 millions d’habitants, malgré la multiplication des « clusters » (on ne parle plus français, on jargonne anglais, sous le règne de la distanciocratie)… une pandémie, ils appellent cela !
Au nom de cette pandémie prétendue, qui aurait tué quatre ou cinq personnes au mois d’août, une génération est invitée à sacrifier, qui son adolescence, qui sa jeunesse d’homme et de femme, qui ses conditions normales de scolarisation, d’instruction et d’étude.
Dans deux articles documentés, le docteur Delépine, oncologue, a réfuté la poursuite et plus encore l’aggravation de l’épidémie. Dans son article paru le 7 septembre, le Docteur Delépine a produit un tableau du ministère de la santé : on y voit bien qu’il n’y a pratiquement plus d’hospitalisations et moins encore de décès et que nous sommes rendus fous par une épidémie sans malade ou presque sans malades.
Mardi 1er septembre, sur Cnews, au cours de la discussion sur le masque et la rentrée scolaire, le médecin, soutenant régulièrement le point de vue de la DGS et du ministre Véran, – confirmait le propos du docteur Cohen. Questionné par un reporter de l’émission, – il venait d’affirmer, je cite le Docteur Cohen : « les enfants sont moins contaminés et moins contaminants ; les enfants sont moins récepteurs au virus et moins transmetteurs ; les risques sont limités en milieu scolaire ».
Le médecin, habitué du plateau, bien que défenseur du masque à l’école, s’est voulu rassurant (mais il ne m’a pas vraiment rassuré), en expliquant : « le masque peut avoir un effet négatif sur l’immunité naturelle des enfants, s’il était porté pendant une trop longue période ».
En clair, le masque n’a pas d’utilité positive pour les enfants : « c’est juste pour protéger les personnes à risque». Par contre, ce même porte-parole de la DGS reconnaissait, devant les caméras : que le masque est un danger pour l’avenir des enfants, au plan de leur santé, en provoquant une immunité naturelle affaiblie.
Le masque n’a pas d’utilité positive pour la santé des enfants, en supposant qu’il en ait une par ailleurs, pour d’autres catégories de la population, mais… en d’autres termes, c’est un masque essentiellement idéologique, prétendument imposé pour protéger les personnes dites à risque. Et pour ce motif, on hypothèque l’avenir de toute une génération, d’écoliers, collégiens, lycéens…
Au nom de cette pandémie prétendue, contre laquelle on a fait interdire des protocoles de soins qui pourtant s’avéraient efficaces, on a introduit le chaos dans un système scolaire qui n’allait déjà pas si bien que cela et l’on s’apprête à continuer, comme si le premier besoin du peuple après le pain, ce n’était plus l’instruction ?!
Au nom d’une épidémie sans ou presque sans malades grave on a fermé plus de 100 classes et au moins une école
Question : combien de malades graves parmi les enfants de ces classes et de cette école fermées et combien parmi leurs proches ?
Les autorités scolaires, l’ARS, la DGS, se seraient empressées de communiquer s’il y avait eu, ne serait–ce qu’un seul enfant et qu’un parent malades du CV19, dans cette école et dans ces classes fermées… bref, le chaos, le stress, l’hypocondrie obligatoire, pour rien.
Molière, revient, ils sont devenus fous, Diafoirus a pris le pouvoir !
Au nom de cette prétendue pandémie, que l’on refuse toujours de soigner, en dehors de l’hospitalisation des cas graves et du confinement des cas moins graves ou asymptomatiques, on invite, avec insistance, les jeunes et les enfants à ne plus embrasser leurs grands-parents. Comme si l’amour et les gestes d’amour des enfants pour leurs anciens et des anciens pour leurs petits–enfants n’étaient des conditions indispensables d’une vie équilibrée pour les enfants et d’un goût maintenu à la vie pour les anciens ?
La vie sociale, la vie scolaire, la vie et la mort (mariages, anniversaires, obsèques, pots de départ en retraite, réunions syndicales ou de sociétés philosophiques ou philanthropiques) sont prohibées, amputées ou gravement perturbées.
Si l’on voulait résumer : toute l’agit–prop, autour de la distanciation et autour du masque, sans parler du ou des futurs vaccins, ressemble à une volonté d’infuser une pathologie que nous pourrions nommer l’hypocondrie universelle, au nom du dévoiement du principe de précaution.
Je veux conclure mon propos sur ce que vient de dire Bernard–Henry Lévy, [que les enjeux du masque obligatoire] expriment la lutte séculaire entre les amoureux de la vie et les amoureux de la mort.
Bref, et pour conclure,
Mes amis, le pouvoir devient fou, le pouvoir tourne au despotisme ravageur.
Doit–on continuer de le laisser pourrir la vie quotidienne et saper la société civilisée ?
Le 7 septembre 2020
P.S. depuis ce propos qui n’a pu être discuté, qu’a-t-on appris et/ou pu entendre?
- Pour Emmanuel Macron, c’est dit et décidé : nous ne formerons plus « une société d’individus libres ». Cela, c’est définitivement le passé. Bref, un nouveau jargon totalitaire « sanitaire » emmaillote le basculement du pays dans une forme particulièrement perverse de tyrannie. Pour Macron et les Diafoirus/Lyssenko qui le « conseillent », le mythe de la pandémie non jugulée joue la fonction de l’hydre de la contre–révolution, sans cesse renaissante, dans la logorrhée de Staline, la GPU et de tous les pourvoyeurs de Goulag.
- En août 2020, quand a redémarré la campagne des médias et du ministre de la santé, dénonçant une prétendue deuxième vague, il y a eu, en tout et pour tout, selon les chiffres de l’INSEE, 8000 décès de moins, toutes causes confondues, qu’en août 2019
- L’étude Recovery a été abandonnée, au moment même où, en dépit de son apriori anti–chloroquine, elle commençait – malgré elle en quelque sorte– à montrer les effets positifs de la chloroquine sur la santé des patients atteints de C19, de même pour l’étude Hy Covid.
- Le Sénégal et le Maroc confirment, à l’échelle de ces deux pays, qu’il existe bien un traitement utile et que l’on n’est pas obligé de trembler face à une montée vers la saturation explosive des services d’urgence et de réanimation. Le Mali montre aussi qu’il n’y a pas de « pandémie mondiale » (moins de 400 décès attribués au C19, sur 19 millions d’habitants, malgré la traque du malade et du décédé C19…)
- L’Argentine montre que le pays qui a le plus confiné (un pays développé) est aussi celui qui comptabilise le plus de décès attribués au C19.
- Inversement, la Suède, qui n’a ni confiné, ni imposé le masque, n’a proportionnellement pas beaucoup plus de décès C19 qu’en France et l’on y constate la fin de « l’épidémie ».
- Le Brésil – qui est cloué au pilori, accusé de tous les maux pour une « mauvaise gestion » attribuée à son président qui a exprimé une fâcheuse opinion favorable à l’utilisation de la chloroquine – a, à ce jour, 210 décès C19 par million d’habitants tandis que la France en est à 435 et la Belgique en a 937…
- Les USA, où la gestion sanitaire se décide au niveau des États, on dénombre 359 décès C19 par million d’habitants (rappelons : 435 par million en France) avec une grande inégalité selon la couleur politique des États (c’est un fait que chacun ensuite pourra interpréter).
- La Suède, dont on parle peu, dirigée par un gouvernement social–démocrate classique, est légèrement au–dessus de la France (485 décès C19 par million d’habitants au lieu de 435 en France). La Suède est aussi le pays qui, sans recourir comme le Maroc et le Sénégal au traitement préventif massif par la chloroquine (protocole Raoult), n’a ni confiné ni imposé le port du masque.
- La grippe de 2018 a tué trente mille malades pour presque 67 millions de Français, sans que la société française ne soit plongée dans la peur et l’autodestruction ; pour mémoire, la grippe de 1968–69 avait tué 37000 personnes pour 50,2 millions de Français et la vie avait continué normalement. La grippe de 1956-1957 avait tué cent–mille personnes, pour 43,5 millions d’habitants.
- De 2017 à 2018 le gouvernement a poursuivi la fermeture massive de lits d’hôpitaux publics (plus de 4800 lits chaque année, depuis 2003), dans le cadre de 95 fermetures d’hôpitaux. Ce saccage du système de santé par la bureaucratie de la médecine comptable (un oxymore), est le prétexte principal du confinement. En effet, le système hospitalier en France n’est plus capable de supporter les situations épidémiques passées (du type 1956–1957, 1968–69 et même 2018), en conséquence de quoi : le gouvernement choisit de séquestrer la population et de la priver des ses libertés personnelles et collectives ; il choisit de ruiner le pays, de détruire des professions entières et d’endetter les générations à venir.
- Pour anesthésier l’opinion, pour faire oublier sa faillite et faire accepter sa tyrannie et ses caprices bureaucratiques, le gouvernement et sa clique de Lyssenko et de Diafoirus agitent le spectre de quatre cent mille morts du fait de la « seconde vague » si la France n’est pas transformée en vaste camp de rétention.
Nouveau P.S
Depuis le 20 novembre, absurdités et humiliations bureaucratiques des populations, dévastant des secteurs entiers d’activités, n’ont cessé de s’ajouter et de s’amplifier.
Ce n’est pas l’apparition du faux-messie, appelé vaccin, qui va remédier à cette situation et mettre fin aux mesures liberticides tatillonnes. Le vaccin, soit s’avère inefficace, sans parler d’effets secondaires immédiats ou à terme, soit il ne peut être fourni en quantité suffisante…