En France nous en sommes à “9 cas pour 100.000 habitants” selon le Réseau Sentinelles :
“Surveillance de la COVID-19 : la semaine dernière (2021s07), parmi les cas d’IRA (infection respiratoire aiguë) vus en consultation de médecine générale ou pédiatrie, 6,2% des prélèvements étaient positifs au SARS-CoV-2 (COVID-19) (2/32 testés). Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 9 cas pour 100 000 habitants (IC95% [1 ; 16]), ce qui représente 5 769 [671 ; 10 867] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre (2020s47).”
Ce qui est certes moindre que Géode de Santé Publique qui en comptabilise “220, 7 pour 100.000 habitants” du fait que les chiffres intègrent l’ensemble de la structure hospitalière; mais les considérations indiquées en commentaire reflètent toujours cette même problématique négligeant le rôle central des traitements précoces, tablant uniquement sur “la distanciation” et la vaccination au nom de présupposés stipulant que cette “infection respiratoire aiguë” va certainement “s’accélérer” dans sa létalité et mortalité, ce qui est pourtant toujours faux après plus d’un an d’émergence, alors qu’elle s’avère devenir plutôt selon certaines études un gros rhume saisonnier, certes plus complexe pour certaines personnes très âgées et/ou très obèses, mais qu’un système sanitaire à niveau articulant thérapies précoces, à disposition abondante désormais, et techniques de prise en charge pour les cas plus sévères pourraient aisément contrecarrer.
Il y a donc bien autre chose comme cette mise aux normes globalistes imposée par ce qu’il faut bien appeler une Caste Numérique au Sourire d’Ange (C-N.S.A) composée de technocrates de richissimes se targuant d’être également histrions entourés de demi-mondain(es) narcissiques faisant dans la communication et le journalisme, le tout décidé de sacrifier toute une société sur le bûcher de ses vanités.
La force (mais aussi la faiblesse) de ce C-N.S.A sera de nier, frénétiquement, ce qu’ils font pourtant sous nos yeux, seule partie visible du visage encore tolérée : la mise au pas d’une société urbaine jugée trop enchevêtrée pour être programmable. Car il y a une exigence de la “Centrale” à observer sur ses immenses écrans de commandement les courbes d’adhésion et de consommation conformes à une certaine réalité tangible. Le Simulacre ce n’est pas de la Simulation (prévenait Jean Baudrillard se détachant ainsi de Guy Debord et sa “société du spectacle”) même si plastiquement cela en jette dans les salons privés qui jouxtent les salles de commande, nouveaux lieux du “m’as-tu-vu” malgré mon masque néo-vénitien ; le Simulacre c’est du dur, du lourd, c’est la précession, le modelage d’une forme imposée sur une matière, humaine en l’occurrence ici : élimination haussmannienne d’une société civile pouvant basculer dans du populisme façon Brexit ou Trump; d’où la nécessité de la drainer en amont en réduisant les classes moyennes à une clientèle d’assistés additionnés aux autres strates déjà sous perfusion “sociale”.
Aussi, dans ce néo-moyen-âge pyramidal global, la Caste accélère son intégration en mettant également à son service l’argent public via la dette sans fin pour financer les infrastructures des nouveaux secteurs de l’énergie de la consommation numérisée et médicalisée ; le tout visualisé dans les salons dorés des immenses palais électronisés, une vie mondaine secrète imité par les marges (dans lesquelles la première recrute tant elle est aussi assoiffée de sensations nihilistes nouvelles) celles-ci contrôlant les immenses marchés de la drogue et de la prostitution, tout en organisant elles aussi une vie nocturne secrète derrière les murs bien gardés par des sociétés de sécurité privées.
Pendant ce temps les jeunes sont sacrifiés et les aînés abandonnés inversement proportionnellement aux discours prétendant le contraire, telle est la subtilité qu’il suffit de nier. La Négation, cette “taupe”…