“Vaccin obligatoire!” Clame Michel Onfray, au lieu de se battre pour les traitements précoces comme le fait Violaine Guérin devant l’incrédulité de Pascal Praud et le directeur de Libération. Afin justement d’éviter les confinements à répétition. Et alors que les études sur leur efficacité explosent. Eh bien non Onfray choisit d’épouser la propagande officielle alors que non seulement rien ne prouve l’efficacité de ces “vaccins” n’ayant par ailleurs que des autorisations temporaires (tandis que l’on reprochait au traitement préconisé par Raoult de ne pas être assez fiable) mais il semblerait bien que le vaccin accentue la pression de sélection au sein des diverses couches du virus, Raoult avait fait déjà cette remarque à propos du Remdesivir et l’apparition de variants, comme l’indiquent également certains chercheurs bien sûr blacklistés.
Jean Hamburger l’avait explicité à propos des pesticides impuissants contre certaines “mutations” : ce ne sont pas les insectes qui “mutent” mais le fait que les espèces d’insectes ayant un génome résistant naturellement aux pesticides peuvent alors prospérer à la place des autres espèces décimées ; idem ici, les vaccinés, étant devenus porteurs artificiels du virus vont en réalité le diffuser encore plus indiquent Geert Vanden Bossche & Peter McCullough Webinar (supra). Tout en n’étant “protégé” que pour une certaine variété alors que les anticorps secrétés naturellement ont un spectre bien plus large. On verra bien s’ils ont raison d’ici quelques mois, en particulier en Israël, aux USA et en UK.
En tout cas, Michel Onfray pourrait au moins prêter main forte aux médecins qui veulent prescrire, soutenir France Soir, faire en sorte que les traitements ayant prouvé leur efficacité soient mis en avant, eh bien non il rejoint les propos de Pascal Praud (supra) se demandant si ces derniers marchent vraiment “puisque la plupart des gens malades s’en sortent” mais s’il en est ainsi pourquoi diable confiner masquer empêcher les gens de se voir s’embrasser s’aimer et le tout au nom d’une vision éthérée abstraite de la “protection” alors que c’est justement en interagissant avec “l’autre”que celui-ci pourra stimuler son système immunitaire.
Michel Onfray au fond accompagne l’effondrement de toute une philosophie mécaniste holiste et hygiéniste stipulant que le corps humain son esprit sa santé sont des “choses” séparées et qu’il est possible de réparer de remplacer comme s’il n’était qu’un meccano ou un puzzle, ce qui est faux on le voit bien de plus en plus avec toutes les nouvelles théories sur le microbiote et la symbiose qui poussent à repenser nos liens indissolubles avec l’environnement.
Michel Onfray reste encore collé à cette idée scientiste stipulant que l’on connaît un animal uniquement sur la table de dissection alors que l’éthologie depuis Lorenz a montré que l’animal doit être étudié dans son environnement parce qu’il n’en est pas dissociable, ce qu’expliquait aussi Norbert Elias dans La société des individus : il n’y a pas d’un côté l’individu et de l’autre la société mais la symbiose entre-eux ce qui fait par ailleurs que l’on ne peut dissocier l’humain d’un côté et le citoyen de l’autre, le Français d’un côté et l’autre indifférencié, tout se tient, même s’il s’agit de distinguer sans séparer ce qui nécessite d’étudier minutieusement tout cela au lieu de simplifier ; dommage qu’Onfray ne fasse que recycler vulgariser des idées mortes mais qui en effet sont encore si brillantes du côté coercitif du manche…