22 janvier 2025

Macron ou l’ère, l’air, l’aire du vide (d’où il erre)

Errance, rance, rancœur, sans cœur, peu importe pour lui que des ukrainiens et des gazaouis meurent pour la gloire de despotes bien au chaud au Qatar ou ayant de confortables investissements un peu partout...( Et quid des assassinats quotidiens au Darfour, Nigéria, surtout si les victimes sont chrétiennes ?)… Macron en redemande encore ; peu importe si les accords de Minsk aient été triturés plutôt dans une seule direction (avec l’aval des Hollande et Merkel), peu importe si à Gaza les enfants sous contrôle du Hamas apprennent la haine du juif avec l’argent européen et donc français

Et le pompon, la perle en effet : il y aurait en France une “inexplicable” montée de “l’antisémitisme” et là non seulement le point Godwin est dépassé (car il a bien sûr parlé de “l’extrême droite” tout de suite après) mais aussi et surtout aura été atteint, et en fanfare, le point Audiard :  les cons osent tout et c’est même à ça qu’on les reconnaît

Plus encore, il franchit le mur du “çon” avec cette tirade associant “extrême droite” et “chloroquine” faisant ainsi de Raoult, Perronne, et tant d’autres, des affiliés de la première, ce qui est bien là la marque du personnage, décidément bas du front, identique en son fond à son premier ministre lorsque celui-ci n’aura eu comme seul argument contre le RN le fait que celui-ci ait dû en 2017 trouver un prêt auprès de banques russes alors que l’ordre avait précisément été donné aux banques françaises de ne pas l’en lui prêter…

Ou le comble du “bête et méchant” cher à Cabu, tombé, lui aussi, sous les balles des désormais alliés LFistes que soutiennent, même indirectement, les sbires “renaissants” ; déjà en ne sanctionnant pas leur députée ayant réitéré la violation de l’enceinte parlementaire brandissant à nouveau un drapeau totalitaire appelant à la destruction des juifs (ce qui fait jouir le poussah de  Rivarol, et ce que, cyniquement, Poutine manipule…); ensuite en exigeant, tout comme la momie Biden (prononcez Biiden), un cessez-le-feu à Gaz, c’est-à-dire la reddition israélienne de fait ; d’autant qu’au Nord la même Momie empêche d’attaquer le Hezbollah sous prétexte que ses maîtres khomeynistes seraient derrière alors que précisément ce serait le moment d’y aller (l’armée israélienne le réclame…).

Tout a donc été franchi : points Godwin et Audiard, mur du “çon” ; tout aura été réduit à la seule scène de théâtre et ses performances d’éloquence oubliant (volontairement) que “la guerre n’est pas dîner de gala”

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