Ce qui lie la lie de gaute et de droiche incarnée dans l’alliance maritale effective des deux M (Macron et Mélenchon) affalés bien au chaud dans le lit de la République c’est bien l’idée “d’augmenter les recettes” traduisez : comment prendre en plus de pognon afin de continuer notre vie de patachons ?…
Car tous ces bons à rien qui reconnaissent l’idée de nationalité uniquement lorsque cela peut leur rapporter du pognon n’ont qu’une seule idée en tête: comment taxer encore plus le bon boulanger pour le punir de faire du bon pain bien meilleur que le mauvais boulanger. Comment ? En exigeant que le bon boulanger lui “augmente ses recettes” à ce dernier avec ses propres deniers; et essentiellement pour se faire pardonner d’être si bon …
Tandis que les mafieux avec une tête d’ange ayant réussi à légitimer cette exigence par la Loi prendront leur commission au nom de leur “mission”: lutter contre ce qui est taxé d'”inégalité”, même si elle est justifiée, en tondant les “riches”: ainsi le bon boulanger payera de plus en plus pour le mauvais si celui-ci sait y faire en ronds de jambe façon prêts, subventions, restructurations…tout cela ayant un coût payé par la Collectivité dont le bon boulanger…
Ainsi il s’agira de ne pas toucher aux inégalités qui sont injustifiées car au nom de quoi le bon boulanger devrait-il payer pour renflouer le mauvais ?… N’est-ce pas injuste ?…
On ne mesure pas assez le degré de perversité non pas maladive mais difforme de ce désir fielleux de combattre soit disant l’inégalité par l’injustice, de miner volontairement tout effort d’inventivité (faire du bon pain à l’ancienne et aussi avec des farines nouvelles) qui ne serait pas issue d’une telle pensée envieuse revancharde teigneuse soucieuse en creux de vivre à la manière orgiaque présentée comme Cène à atteindre, aux frais de la Princesse en l’occurrence désormais Marianne, tout en affichant des faces d’ange façon portrait de Dorian Gray (Gabriel Attal par excellence…).
Et à voir aussi un Maduro danser dans un survêtement aux couleurs du Venezuela montre bien que la nationalité sert seulement à ça: plumer le peuple et en son nom paradoxe suprême élevé au rang d’un art majeur ; jusqu’à accuser la cheffe de l’opposition d’avoir elle-même torpillé les résultats électoraux ! Peut-on faire mieux dans l’inversion accusatoire ?…
Mais oui ! Il s’agira de repérer que le bon boulanger aura eu une éducation “hétéronormée” qui l’aurait incité à bien travailler et avec passion alors que le mauvais boulanger aura eu une enfance malheureuse (même si c’est faux) encore heureux qu’il ne fasse que du mauvais pain et n’aille pas tuer en série des petites filles parce qu’elles aiment bien Taylor Swift par exemple…
L’idéologie perverse qui gouverne aujourd’hui les moeurs rend irresponsable encore plus qu’auparavant les frustrés et les envieux en justifiant leur droit au meurtre, fiscal social physique ; ce qui rend possible de faire un lien entre tous ces meurtres épars et ceux fabriqués par le djihadisme faisant suite au bolchevisme et à l’hitlérisme : les moins que rien vise justement au moins le rien comme objectif; ce qui implique de détruire tout ce qui n’est pas “soi”: ainsi ce festival de musique près de Gaza a été détruit aussi et sans doute surtout pour certains parce qu’il symbolisait ce qui est impossible à atteindre pour ces moins que rien: danser librement au sein d’un imaginaire naïf croyant encore aux vertus de la paix par l’amour…
Ainsi les dits “déséquilibrés” qui tuent de plus en plus dans la rue afin de calmer un moment cet écart grandissant (cette “dissonance cognitive”) entre une culture qui leur interdit tout sauf le djihad et ce qu’ils voient tous les jours: des gens heureux rieurs des femmes épanouies cheveux au vent jouant avec appétit des effets que leurs belles formes bien mises en valeur font dans le regard du passant, même un instant, doublé d’un sourire réciproque et plus encore si l’interaction dans ses conséquences le permet…
Toute une dialectique des moeurs effacée cependant par la brutalité sournoise des pressions porno-politiques qui réduisent tout ce côté seyant des rapports courtois en une vulgaire “pêche” (“t’as pécho hier soir ?” ou “tu te l’ai faites” ? Où tu l’as sauté(e) ?) autant d’expressions non pas grossières mais vulgaires au sens de réduire l’autre au seul moment objet alors qu’il reste sujet tout autant du désir réciproque, une réciprocité niée précisément par ces cultures basées uniquement sur la force, même maquillée en farce, or, n’est-ce pas la définition même du fascisme que ce culte de la force (symbolisé parfois par ce désir forcené de n’avoir que des rapports anaux y compris s’ils sont hétérosexuels ?…).
Cette obsession “anti-fa” dans ce cas ne cache-t-elle pas précisément le fait que ce culte de la force soit, déjà dans les faits, autant partagé par le djihadisme le néo-léninisme la punkitude destroy post hippie et rock and roll et le paganisme suprémaciste de l’ethno-différentialisme?… Un Soral en est la synthèse chimiquement pur, mais aussi une Diallo dont le discours serait immédiatement tourné en dérision en Afrique (” il y a trop de noirs dans la télévision sénégalaise, il y a trop de noirs comme députés…)…
Ainsi lorsque l’on veut imposer comme s’imposer l’agitation autour du drapeau prévaut mais jamais à son détriment et toujours au nom de l’autre… Hypocrisie suprême d’élites en fin de course qui n’ont plus rien à dire sinon tout faire pour perdurer: hypertélie en roue libre qui gène de plus en plus…
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