Il serait temps de retrouver le lien “davidique” et de se débarrasser de tous ces palefreniers wagnériens applaudissant à la nouvelle Nuit de Cristal qui s’est abattue à Amsterdam et qui soutiennent aussi et de fait les pogroms anti-français à Crépol et ailleurs… Car il ne suffit pas de parler “d’immigration” comme les autres soumis qui parlent de “masculinité” ou de “patriarcat”, il faut désigner qui tue viole assassine sinon en très grande majorité les croyants fanatiques du Croissant, même s’il s’agit souvent de leurs descendants désaffiliés…
“Nous” ne pouvons pas être “soumis”, le verset Gen II-19 l’interdit c’est “l’homme” qui nomme avec ses propres mots, il ne récite pas ; de même “nul ne vient au Père que par moi” (Jean 14:5) ou encore ” Celui qui m’a vu a vu le Père” (Jean 14:7) et ” le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître” (Jean 1:18) d’où la formule (forgée par Augustin, ici page 5) : “De, Par, En“, DU Père Par le Fils En le Saint Esprit ou DE l’Origine (et la Fin) PAR la Parole ou le Verbe qui Est la Direction (le Chemin) EN le Saint-Esprit qui Est la Vie (son Souffle : pneuma : l’âme) formule à laquelle je propose un AVEC Marie, ce qui donne DE PAR EN AVEC (Rhombe) car c’est AVEC la Femme, Marie, après Ève, qui donne ainsi accès au Fruit, celui de la Connaissance du Bien et du Mal, ou précisément l’Accès au Chemin…
Certes le Père, au départ, l’avait interdit ; mais n’est-ce pas parce qu’il y a eu cette transgression qu’il a pu envoyer ensuite une part de lui-même, le Fils, après avoir envoyé des Envoyés par exemple Abraham afin de rassembler puis Moïse en vue de distinguer ceux qui veulent vivre par le souffle de la Loi dont il fallait encore préciser certains termes comme “Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère (Mathieu 10:34)…” Ce qui veut dire, semble-t-il, que la relation (verticale) se fait entre chacun et Lui et non pas à travers un patriarche, un clan : ” Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l’effigie et l’inscription? De César, répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. ” (Luc 20-24).
Ce qui implique qu’il faille distinguer (mais non séparer) la singularité du lien entre Dieu (de par en avec) et chacun d’entre “nous” et, précisément, ce “nous” est aussi “noûs” il est cette Intelligence mise en commun dans chaque Nation qui ne peut être cependant seulement une communauté rassemblant tout le monde indistinctement (voilà ce que “nous” apprennent, à nouveau, les Juifs); autrement l’on perd justement ce lien singulier (individu) et particulier (nation) que l’universel (ou la Connaissance ce “Fruit”…) accompagne, enrichit, voilà ce que “nous” apprend encore les “Premiers de la Révélation” les Juifs (dont Jésus fait partie) et qui sont en train de récupérer leur Terre et qu’il faut justement aider à la différence de ce que croit l’Église actuelle (qui n’est pas infaillible -à l’exception du Dogme de la Trinité- d’où le fait que cela soit sur Pierre qu’elle a été bâtie, lui qui a trahi aussi…) afin déjà de réparer les erreurs effectuées lors des Croisades par exemple…
Ce ne sont pas en effet les Juifs qui ont tué Jésus, mais les Romains, aidés il est vrai par certains Pharisiens, mais qui ont réagi comme humains (trop humains) et non comme Juifs, en ce sens où ils ont prosaïquement écarté la concurrence théologico-politique pour garder le monopole de la Loi ; n’oublions pas pourtant que lorsque Moïse est redescendu avec Elle peu l’ont cru; et que par ailleurs le Royaume de Salomon a été scindé en deux, sans que cela soit à cause des chrétiens…; idem aujourd’hui dans le fait que d’un côté des “ultra” religieux refusent de servir dans l’armée juive et de l’autre que des “ultra” sécularisés refusent d’admettre que tant la souveraineté, entière, sur Jérusalem (ce que ne comprend toujours pas le Pouvoir en France), et donc y compris sur le Mont du Temple, ne sera pas réalisée alors il n’y aura pas de paix réelle ; ce qui ne veut pas dire qu’il faille nier le passé et le futur (surtout géopolitique et géostratégique) d’où dans le présent l’idée déjà d’ouvrir l’esplanade du Mont bien sûr à une synagogue, aussi à une Eglise (Jésus est Juif et a prié, débattu, au temple) pourquoi pas à une pagode : certains shintoïstes ne disent-il pas que Jésus est venu à 21 ans au Japon, voire y est même enterré ? Cela vaut bien l’idée qu’il y aurait eu un vol direct au 7 ème siècle entre la Mecque et Jérusalem...
Il y a donc bien une opposition ontologique (de nature) avec les “soumis” ; d’où l’idée que nous en prions pas le même Dieu le leur étant astral attaché aux croyances célestes de leur localité ; d’où leur attachement à l’étoile et au croissant; mais ils utilisèrent le terme vague de “soumis” pour faire croire qu’ils auraient été les “Premiers” ; alors qu’il existe une différence de degré et non de nature avec les vrais “Premiers de la Révélation”, les Juifs, qui ont encore beaucoup à “nous” apprendre tant aujourd’hui en France l’idée de Nation est corrompue et celle de République (politeia) également en ce sens où les notions de frontière, de culture singulière, d’acquis civilisationnels sont réduits à “rien” (puissance du nihilisme se parant du préfixe “anti” et du suffixe “phobique” pour mieux le masquer) ce qui implique pour eux de dissoudre des deux notions de nation et de République au lieu de les affiner positivement…
La difficulté étant cependant de les dévoiler ainsi que leurs idiot(e)s utiles, remugles ratatinés entre l’enclume de l’hyper-individualisme globalisé et le marteau passéiste du retour à la seule communauté de sang (alors que la Nation transcende la notion de “race”) “con(ne)s” préférant désormais être de leur synthèse politique y compris au sens chimique du terme.
Pour y arriver il serait temps de revenir à la filiation de la monarchie carolingienne aux royaumes de David et Salomon abandonnée par les paganistes de la germanophilie fichtéenne (celle du Discours à la Nation Allemande) encore dominante chez les “patriotes” français d’où leur impossibilité d’être de vrais nationalistes à la Barrès et Péguy seulement de vagues européistes (hors U.E s’entend…).
Quant à l’Église, tant qu’elle n’aura pas fait lien entre le pourquoi du retrait de Benoit XVI à partir de son Discours à Ratisbonne et son effondrement/soumission actuel, sa poussée en Afrique et en Asie suivra le même sort qu’en Europe, malgré le timide sursaut français souvent d’ailleurs effectué au nom de Jean-Paul II et, précisément, de Benoit XVI…
Il serait temps de retrouver le lien “davidique” et de se débarrasser de tous ces palefreniers wagnériens applaudissant à la nouvelle Nuit de Cristal qui s’est abattue à Amsterdam et qui soutiennent aussi et de fait les pogroms anti-français à Crépol et ailleurs… Car il ne suffit pas de parler “d’immigration” comme les autres soumis qui parlent de “masculinité” ou de “patriarcat”, il faut désigner qui tue viole assassine sinon en très grande majorité les croyants fanatiques du Croissant, même s’il s’agit souvent de leurs descendants désaffiliés…