Au pays des cellules psychologiques à tout-va au moindre bobo, je comprends que M. Mailly et ses petits camarades prébendiers versent des larmes de crocodile dès lors qu'”Etre licencié sans savoir la raison pour laquelle on nous licencie, ça c’est du véritable mépris” !
De quelle morale supérieure M. Mailly se croit-il investi pour dénier à un patron le droit naturel de licencier qui ne fait pas l’affaire ? Dans un marché du travail libre, en quoi est-il scandaleux, si l’on ne convient pas à l’un, d’aller chercher chaussure à son pied auprès d’un autre ?!
Le temps où des apparatchiks, à l’instar de Jean-Claude Mailly, pouvaient encore espérer ranger le monde sous les lois de la servitude est (presque) mort un certain 9 novembre 1989. Après Cuba, la France, où l’on cause encore couramment communiste, devra bien elle-même faire son aggiornamento.
Librement !