Le 23 février 2005, l’Assemblée votait la fameuse loi (scélérate) dont le 2ème alinéa de l’article 4 stipulait comme par inadvertance : “Les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer (…)”.
Le 31 janvier 2006, après que le Conseil constitutionnel eut régulièrement constaté le caractère réglementaire dudit 2ème alinéa de l’article 4, ce fut avec un ouf de soulagement que le gouvernement le supprima par décret.
Avant de proposer d’indécentes définitions des gros mots “colonisation” et coloniser”, le petit Robert 2007 aurait peut-être eu avantage à s’en remettre, à l’instar du gouvernement dûment chapitré, à la seule sagesse du Coran et du Mrap.
Heureusement, dès hier soir fusait la réponse du berger à la bergère : “Les définitions des lexicographes et linguistes professionnels d’une maison d’édition indépendante ne sauraient en aucun cas être dictées par de quelconques groupes de pression“.
Dans le droit fil du Petit Robert, Dieu fasse que les Français d’où qu’ils viennent, las de voir leur pays traîné dans la boue par des officines du genre nauséabond, connaissent eux aussi un tel sursaut face à des attaques uniquement destinées à les détruire !
Librement !