En revanche, ce qui pourrait lui être légitimement reproché, c’est d’avoir fait preuve, en l’affaire, d’une grande légèreté en employant des termes vulgaires et blessants pour exprimer une pensée que d’ailleurs, pour ma part, je juge d’un niveau primaire.
Si Pascal Sevran devait donc être déclaré coupable de quelque chose, ce serait d’avoir imprudemment laissé paraître aux yeux de tous une sottise mortifiante au possible tant doit être vif, pour un artiste, le sentiment de passer pour un minus habens…
Librement !