A-t-il un bilan à présenter pour une ville, un département ou une région ? Non !
S’imagine-t-on un seul instant que le plus grand Résistant de l’extraordinaire Histoire de France, le Général de Gaulle, se serait accoquiné avec un antisémite notoire (Dieudonné) ou un communiste pro palestinien, grand défenseur d’un Islam dont la violence n’est plus à prouver (Soral) ? Aurait-il accepté de serrer la main à un dictateur responsable de la mort de centaines de milliers de ses concitoyens (Saddam Hussein) ?
Bien sûr que non !
Il me semble que Philippe de Villiers n’accepterait jamais ce genre de compromis lui non plus. Il est le seul à appeler un chat un chat ; le seul à critiquer l’Islam ouvertement devant les caméras, à se foutre de la pensée unique et de ce que penseront les bien-pensants et à refuser d’avoir à baisser les yeux face aux regards menaçants des petits caïds des quartiers. Aucun autre candidat n’accorde autant d’importance au patriotisme, à la famille, à l’esprit de résistance ou à notre patrimoine culturel que Philippe de Villiers. Et en plus ses idées ont fait leurs preuves. Ses réussites économiques au sein de son département, la Vendée, font figure d’exemple. On parle même de miracle économique vendéen, c’est dire. On ne peut pas en dire autant du reste du pays.
Alors pourquoi les Français continuent-ils à bouder le candidat Villiers ? Savent-ils vraiment qui il est, ou alors ne connaissent-ils de lui que la caricature que les médias en font ?
Pour moi il est le Résistant numéro un au sein de la classe politique française, et bien que Jean-Marie Le Pen soit attrayant à bien des égards, il n’en reste pas moins que je ne voterai jamais pour un candidat qui a tant d’amis parmi nos ennemis.