En effet, selon Reuters, ce pauvre enfant de 12 ans était affecté “d’une malformation cardiaque qui le rendait vulnérable à un effort intense ou à une forte émotion“. La fatalité, vous dis-je !
Par conséquent, la violence en milieu scolaire n’a rien à voir dans ce drame et la morale républicaine est donc sauve : comme nul n’en ignore, ce sont les moyens qui manquent le plus…
Librement !