En effet nous avons en France un peuple admirable. Je veux parler du peuple dont l’appartenance ou la sensibilité politique fini obligatoirement en iste, vous connaissez comme moi les commun-istes , les social-istes, les écolog-istes et autre gauch-istes. Ce peuple est toujours prêt à se sacrifier pour le bonheur de toute personne qui peut leur apporter un peu de pub.
Ce bon peuple de gauche qui a la propriété en horreur (en tout cas celle des autres) a dans toute la France mais surtout dans des endroits agréables, des maisons secondaires qui si j’en juge par le nombre de jours ou ces maisons, ces chalets offrent des volets clos sont très peu occupés.
On peut se poser la question pourquoi ce peuple admir-able (ils aiment ce qui fini en « able ») n’a pas encore eu l’idée d’y loger les pauvres gens, afin de leur offrir du confort, et un peu de leur luxe, .
En compensation à cette action, les villages seraient en vie toute l’année, les commerçants du coin seraient enchantés de ne pas être obligé de faire le chiffre d’affaire en deux mois. Les écoles pourraient réouvrir des classes. Le peuple de gauche présent dans ses villages pourrait enfin avoir ses propres pauvres, monter des associations demander des subventions Les travaux gigantesques fait par le conseil général (avec vos sous tout de même) pour désenclaver le village qui passe de 100 habitants en hiver à 5000 en été trouveraient là un justificatif. Je ne vous parle pas de l’emploi, il faudrait plus de techniciens de toutes sortes.
Et puis ces gens bénéficiant de la bonté du peuple de gauche pourrait pour compenser entretenir la maison afin qu’elle soit prête pour les mois de vacances.
Mais me direz vous que faire de ces pauvres en été ? C’est simple l’appartement à la ville est vide et puis il faut qu’il soit refait pour l’hiver suivant façon tendance. « Ils nous doivent bien ça tout de même ! » Après les vacances on prend de nouveaux pauvres car on aime les changements et l’exotisme.
Dites moi pourquoi ce peuple en iste ne le propose t’il pas cette solution ? On aurait là la promesse d’un bonheur épand-able.(en souvenir du lisier qui lorsqu’il est épandu fait profiter tout le monde d’une odeur inoubli- able.)