16 janvier 2025

USA : sur la guerre contre l’idéologie islamique

Sur Poste de veille : " Le lieutenant colonel Allen West est candidat républicain au Congrès pour l'état de Floride en 2010. Cette vidéo, traduite en français par gandalf et sous-titrée par Vladtepes, a été tournée le 29 février dans le cadre d'une conférence sur la sécurité nationale organisée par le  Freedom Defense Initiative. Outre l'idéologie islamique, Allen West dénonce le politiquement correct, le multiculturalisme, la tolérance à sens unique qui mène au suicide culturel, le djihad juridique qui sape la liberté d'expression, et le deux poids deux mesures des médias.


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«…je suis fatigué et dégoûté des gens qui parlent de la « guerre au terrorisme ». La guerre contre le terrorisme n’existe pas. Une nation ne rentre pas en guerre contre une tactique. Une nation entre en guerre contre une idéologie. Nous sommes confrontés à quelque chose qui est une idéologie politique théocratique et totalitaire et qui est nommée islam. » — Allen West

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Allen-West-20091216 Si la vérité est aujourd’hui devenue un appel à la haine passible de prison, alors vous pouvez m’enfermer, parce que je n’ai pas l’intention de me taire. Un des principes clefs des conservateurs est la sécurité nationale. Et le fait que nous soyons ici, à discuter de ce problème, est une des choses que le peuple américain attend des leaders conservateurs, c’est qu’ils assurent sa protection. Et si nous ne nous levons pas aujourd’hui dans cette convention et que nous n’affirmons pas qui nous sommes, et que nous comprenons la situation, le problème, alors le peuple américain se détournera de nous.


Les responsables conservateurs que vous voyez ici ce week-end savent ce qu’il faut faire pour vous protéger. Laissez-moi expliquer quelques points. Je suis resté assis et j’ai écouté. Et je suis fatigué et dégoûté des gens qui parlent de la « guerre au terrorisme ». La guerre contre le terrorisme n’existe pas. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, de quoi auraient eu l’air les États-Unis s’ils avaient prétendu être en guerre avec le Blitzkrieg ? Ou avec les attaques kamikaze ? Une nation ne rentre pas en guerre contre une tactique. 


De la même manière, quand vous voyez les décideurs de niveau stratégique ici à Washington D.C. aller à la télévision et raconter à quel point c’est fantastique de lancer des « attaques par drones », vous vous rappelez de ce qui se passait à l’époque du Vietnam quand Lindon Johnson autorisait les bombardements depuis la Maison Blanche. Ce n’est pas ce qu’est censé faire un décideur de niveau stratégique. Ce n’est pas de la stratégie. Une nation entre en guerre contre une idéologie, et c’est ce dont nous avons parlé aujourd’hui. Nous avons parlé du fait que nous sommes confrontés à quelque chose qui est une idéologie politique théocratique et totalitaire et qui est nommée « islam ». Ce n’est pas à propos des musulmans. C’est la même chose qu’avec l’Allemagne nazie : tous les Allemands n’étaient pas nazis. De même que quand j’étais en Iraq en 2003, tous les Iraquiens n’étaient pas membres du parti Baas. 


Ce dont je parle ici est d’une idéologie qui existe depuis l’an 622, depuis le 7ème siècle. Ça a commencé avec ce qui est appelé « le raid de Naklah », après que Mahomet ait commencé l’Hégire en quittant la Mecque pour Médine, ça a été violent depuis lors. C’est entré en confrontation avec la civilisation occidentale, et c’est juste un autre chapitre dans le long livre qu’ils écrivent pour conquérir chacun de nous. Et c’est maintenant à nous, comme nos ancêtres eurent à le faire, de nous lever et de repousser l’ennemi. Nous devons maintenant nous lever et repousser l’ennemi, aujourd’hui. 



Vous avez entendu Stephen [Coughlin] (ancien officier du renseignement) parler de l’abrogation. Vous devez comprendre des choses telles que le traité de Hudaybiyah, où ils (les musulmans) s’assoient pour discuter et vous berner en signant une trêve pour reprendre des forces. C’est ainsi que dans les années 627, 628 Mahomet réussit à conquérir la Mecque. C’est exactement la même chose qui arrive aujourd’hui. Il faut se rappeler ce que fit Mahomet. Quand il écrivit des lettres à Khorso, l’empereur perse, quand il écrivit des lettres à Héraclius, l’empereur byzantin, qui disaient : « Vous avez trois choix. Vous vous convertissez, vous vous soumettez, ou nous venons vous détruire. Eh bien, devinez quoi ? En 1992, Ben Laden a fait exactement la même chose. Il envoya une lettre aux États-Unis. Un peu plus tard, en 2005 ou 2006, Mahmoud Ahmadinejad fit exactement la même chose. Il envoya une lettre au peuple américain et au président Bush.


Et je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, je ne serai pas un dhimmi. Je ne vivrai jamais sous une autre idéologie que ce qui est écrit dans la constitution des États-Unis d’Amérique.

Nous sommes déjà en état de guerre, et si nous n’avons pas le type de chefs qui peuvent comprendre ça, qui peuvent étudier cet ennemi, cet adversaire, nous sommes sur la voie de la défaite, ici même, dans ce grand pays. Nous devons comprendre cela. Tout le monde ici vous l’a dit, la charia est incompatible avec ce que nous sommes dans la civilisation occidentale, avec qui et ce que nous sommes pour les États-Unis d’Amérique. Ce n’est pas une question de liberté. Ce n’est pas une question de protection des droits de l’homme ou des droits des femmes. C’est à propos de ce que dit l’islam : le mot signifie « soumission ». Et je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, je ne serai pas un dhimmi. Je ne vivrai jamais sous une autre idéologie que ce qui est écrit dans la constitution des États-Unis d’Amérique. 


Nous devons comprendre que nous devons reprendre l’initiative dans ce combat. De la même manière que nos jeunes soldats qui sont engagés avec de telles restrictions dans leurs règles d’engagement qu’ils ne peuvent reprendre l’initiative à l’ennemi. On a vu à Marjan dans la province du Helmand, des talibans sortir, poser leurs armes pour venir narguer nos soldats et repartir indemnes pour reprendre le combat. Ce genre de chose n’arriverait jamais si j’étais commandant en chef. Et de la même manière, nous devons développer des règles stratégiques d’engagement. Parce que nos droits constitutionnels ne devraient pas être applicables à des combattants ennemis définis comme illégaux par la convention de Genève. Nous ne pouvons plus permettre à l’ennemi de venir utiliser cette nouvelle tactique de « guerre légale » que la majorité des gens ici présents connaît, c’est comme ça qu’ils essaient de vous réduire au silence. Nous devons réagir, ne pas les laisser utiliser nos lois ainsi. Et par le diable, si un homme de loi ose poursuivre un citoyen américain pour lui interdire de s’exprimer librement, alors il n’est plus mon frère. Qu’il remballe ses affaires et fiche le camp de ce pays !


Si nous continuons ainsi dans cette atmosphère politiquement correcte de multiculturalisme, c’est n’importe quoi, on s’empêche nous-mêmes de prendre le droit de faire ce qu’il faut pour arranger les choses.

Si nous continuons ainsi dans cette atmosphère politiquement correcte de multiculturalisme c’est n’importe quoi, on s’empêche nous-mêmes de prendre le droit de faire ce qu’il faut pour arranger les choses. On voit ce qui s’est passé au Soudan. On voit ce qui se passe en Autriche. On sait ce qui se passe en Hollande avec Geert Wilders. On sait ce qui arrive au Danemark. On appelle ça une analyse de risque, il n’y a rien de mal à faire cela. Et vous tous ici dans les médias, arrêtez d’appeler cela de la stigmatisation. C’est identifier son ennemi et ce qu’il est en train de faire, et prendre des mesures pour l’éliminer. Quand j’étais un commandant en Iraq, je savais que c’était des jeunes à moto tout terrain qui sortaient des sous-bois poser des bombes et nous attaquer. Je n’allais pas chasser des femmes en burqa au milieu de la nuit dans leurs maisons. C’est ça une analyse de risque. Arrêtez d’être politiquement corrects, arrêtez de leur permettre de venir dans notre pays. Si vous ne comprenez pas que la réalité de votre ennemi doit devenir la vôtre, vous pouvez continuer à nier la réalité. 


Quand j’ai lu ce qu’avait fait le Major Hassan lors de son attaque à Fort Hood, j’ai été atterré. Et quand dimanche à la TV le général Casey, chef d’État major de armées, dit qu’il était plus inquiet des conséquences sur une atteinte au principe de diversité que par la perte de treize soldats à Fort Hood, je me suis rendu compte que nous avions un problème avec les dirigeants de ces États-Unis là. Nous devons accepter leur réalité. Et la solution est tellement simple. Nous devons avoir le bon type de dirigeants dans ce pays. Parce que c’est de cela qu’il s’agit. Nous avons besoin de mettre en place le bon type de dirigeants en Europe. Le type de dirigeants qui n’a pas peur. 


Membres des médias : arrêtez d’attaquer les juifs et les chrétiens. Arrêtez d’avoir peur de cet ennemi. Montrez le même type d’agressivité que vous montrez à l’encontre des Américains, mais contre eux. Parce que laissez-moi vous dire une chose : dans trente ou quarante ans, si c’est eux qui gagnent, et qu’ils ont le contrôle de ce pays, il n’y aura plus de médias libres. Il n’y aura plus de liberté d’expression. Et vous savez quoi ? Vous aurez été complices de cela, parce que vous aurez été trop lâches pour faire front.


…quand la tolérance devient une rue à sens unique, cela mène au suicide culturel.

Le temps est arrivé où nous avons besoin de leaders avec des principes pour les États-Unis. Car pour reprendre une phrase d’Élisabeth : quand la tolérance devient une rue à sens unique, cela mène au suicide culturel. Quand je pourrai aller en Arabie saoudite avec ma bible à la main, avec ma croix autour du cou, ou aller dans une église, à la Mecque, alors à cette époque ça ira. Mais en attendant ce jour, nous devons comprendre les buts et les objectifs que l’islam poursuit.

Nous devons être fiers de qui nous sommes. Nous ne pouvons plus avoir des dirigeants qui vont devant l’assemblée générale turque et dire que l’Amérique n’est pas une nation judéo-chrétienne.  Nous ne pouvons plus avoir des dirigeants qui vont devant une université du Caire, et s’excusent au nom des États-Unis. Ce n’est pas cela la fierté américaine. Nous ne pouvons plus avoir des dirigeants à qui on demande : « comment définissez-vous la victoire ? », et qui sont incapables de répondre. Laissez-moi vous dire : voici comment je définis la victoire. Exactement de la même manière que Ronald Reagan quand on lui demandait à propos du communisme : « On gagne, ils perdent ».

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