En aboyant contre Dupont-Aignan devant l'ambassade grecque, (puis contre Hollande à Saint-Etienne) les chiens de garde mélenchistes épousent jusqu'à la caricature le costard de leurs ainés ceux de la Tchéka (fondée par Lénine ancêtre du Guépéou de Staline et du KGB) que Clint Eastwood a croqué dans Edgar J Hoover en lui faisant dire dès la première phrase lorsque celui-ci luttait contre le communisme dans les années 20 (espérant refaire aux USA leur coup d'Etat de 17) : " le communisme n'est pas une idéologie mais une maladie mentale ", ce qui a fait dire au préposé gauchiste de la lumpen intelligentsia sur Revues.org que Clint faisait oeuvre d'anti-communisme "primaire" alors que cela avait été déjà confirmé par Alexandre Soljenitsyne (in L'erreur de l'Occident (1980) éditions Les Cahiers Rouges, Grasset (2006) p. 38 :
(…) le communisme est globalement hostile à tout ce qui est humain ; il est incurable, il n'en existe pas de versions améliorées, il ne peut se bonifier. Il ne peut subsister idéologiquement que par la terreur. Partant, sur cette planète, toute coexistence avec lui est exclue : ou bien, rongeant l'humanité comme un cancer, il la tuera ; ou bien l'humanité devra s'en débarrasser, quitte à en soigner ensuite, par un long traitement, les métastases.
Mélenchon est l'une de ses métastases. Il se nourrit bien sûr de l'illusion que le communisme défend les misérables alors qu'il les broie lorsqu'ils s'intéressent à lui croyant y trouver un réconfort alors qu'il s'agit d'un autre joug, pis même. Les marins de Kronstadt l'ont appris à leurs dépends. Le communisme du mélenchisme applique à la lettre les principes de physique politique comme la maxime "la force prime le droit"; il prétend défendre l'ouvrier alors qu'il veut seulement l'inféoder, l'enchaîner, avec 1700 euros SMIC compris pour commencer oubliant que l'ouvrier veut être formé pour mieux oeuvrer se qualifier devenir indépendant, libre, ah ! le gros mot ! le méchant gros mot, un os qu'un mélanchiste va voir briller dans la nuit (tous les chats sont gris, et les vaches sont noires) récitant du Derrida pour se dérider pour clamer que la liberté n'est que de papier, papier monnaie même, mais qu'avec eux elle serait d'or, âge d'or, pays de Cocagne, Mélenchon en révolutionnaire professionnel qui veut "casser des reins" il propose donc son manche aux plus excités parce que c'est comme ça que l'on créé d'abord sa milice avec des frustrés de partout qui ont autant de discussions qu'un amuseur (de) gauche lorsqu'il s'agit de faire la claque pour huer Sarko and Co alors que leurs propos, leurs solutions, consistent à tondre les riches puis les moins riches puis puis puis comme ils le firent en Russie lorsque la banqueroute était telle qu'il fallait envoyer au travail obligatoire, dans les camps, travail gratis, le moindre prol qui se la jouait contestataire des nouveaux stars, il était envoyé manu militari creuser les fonds abyssaux de la Sibérie profonde. Mélenchon évidemment n'annonce pas la couleur, il a même engagé une Clémentine Autin pour la jouer bobo branchée homo féministe qui est persuadée que l'argent des riches vient du travail non payé aux pauvres et pas du tout de l'existence d'une vente de ce travail au plus offrant. Si les communistes étaient forts en économie cela se saurait. Mais comme la politique est un rapport de force ils savent qu'ils peuvent le faire croire afin que les plus naïfs, certains jeunes, soient intimidés par une prose mélenchiste ayant réponse à tout.
N'est-il pas temps d'observer qu'un mouvement totalitaire est en gestation et qu'il s'est donné l'apparence d'un mouvement (de) gauche comme dans V ?