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Au-delà des pérégrinations autour de cette triste "révélation" programmée pour tuer, le risible et l'agaçant en émanant s'entrechoquent d'autant plus fort qu'ils proviennent de tous ces parasites bien au chaud dans les fromages étatiques où ils croquent bien plus encore que Pénélope F (en réalité 1521 euros sur 35 ans).
Et ils "le" regardent alors de haut s'empêtrer, se noyer, dans la nasse médiatique, ses désormais bourreaux ayant les pouces tournés vers le bas ; tels aussi tous ceux qui ne savent pas maquiller comme eux par des jetons de surveillance, fonctions d'inspection tous les petits milliards d'argent public craqués en silence, tant et si bien que d'aucuns passent de bureau en bureau dire bonjour relever quelques courriers un petit tour et puis s'en vont dans les émissions où leur rond de serviette médiatique attend gentiment tandis que leur tiroir caisse perso accumule, puis ricane en silence face aux sommes pénélopiennes somme toute guère comparables aux centaines de milliards d'euros structurant la dette française (2500 milliards et quid celle d'EDF, de la SNCF? Retraites chapeaux…).
Le candidat Fillon prétendait mettre un holà à ce fantastique ratage qu'est devenu l'État français bégayant. Mal lui en pris comme on le voit. D'où la conclusion, féroce : le système français est en fait irréformable, même si Marine Le Pen arrivait au pouvoir. L'Administration, les forces occultes, les mêmes qui veulent enfermer désormais Trump dans un hôpital psychiatrique, ne lâcheront jamais le pouvoir, jamais, du moins, pas démocratiquement. Ce n'est pas possible. Ces forces ne cherchent d'ailleurs même plus à se cacher, elles savent que même si elles ont tort elles ont raison d'avoir tort tant "l'autre" (FN, Trump, Fillon…) est présenté comme pire que le diable.
Méfiez-vous, leurs garde chiourmes, néo-gardes rouges, sont partis à l'attaque. Pour hacker la vie politique et intellectuelle. Pour toujours.
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