Comme le souligne Mark Levin dans son “audio” (11/11/20) ce ne sont pas des centaines de milliers de voix d’écarts entre Biden et Trump mais quelques milliers (48000 en Pennsylvanie par exemple, idem dans la plupart des états clés hormis une à deux exceptions) d’où un nombre conséquent de protestations mises en avant par Rudy Giuliani, ce qui mériterait de recompter non ?… Pourquoi une telle précipitation des médias alors qu’ils ne sont pas les Autorités habilitées pour donner le résultat, pas plus qu’ils ne sont des juges pour évaluer si les preuves et témoignages fournis par l’équipe de Trump sont oui ou non fondés ?…
Idem pour les chiffres de plus en plus gonflés dudit “C-19” (surtout un à deux jours avant d’annoncer des “durcissements” de confinement) alors que cela ne dépasse toujours pas, au bout d’un an, la grosse grippe de 1957, dans le monde (2 millions) et en France (100.000 morts).
Sur Santé Publique par exemple tout est mélangé, lissé, cumulé sur une semaine mais cela surgit d ‘un coup sur un seul jour (comme le mardi 10), or lorsque vous observez pour un jour donné entrée en réanimation C-19, et entrée en hospitalisation pour grippe (472/873) il n’y a pas de différenciation entre les deux concernant la réanimation par exemple comme si les “entrées en urgence” pour grippe ne concernaient jamais la réa…
Deux choses encore: la notion de prise en charge, de traitement en amont donc, reste toujours écartée, ce qui est inouï, malgré l’accumulation mondiale des preuves sur l’efficacité d’un traitement multimodal (mais-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom) préconisé par des milliers et des milliers de médecins désormais ; comme si ce virus était toujours inconnu alors qu’il a, depuis le début, une “famille”, un nom savant et usuel, un chiffre, et qu’il y a maintenant bien un an de recul montrant que sa létalité reste bien moindre que d’autres maladies du même “type”, et, surtout, qu’il ne tue guère les enfants, à la différence d’une infection pulmonaire sévère (tuant trois millions de personnes dans le monde annuellement) ce qui devrait être l’essentiel; seulement, dans nos sociétés vieillissantes gouvernées par des jeunes-vieux dans leur tête et éduqués dans le mépris du genre humain en particulier blanc et occidental, ces considérations sont obsessionnellement hystériquement balayées piétinées avec moult rires sarcastiques, cyniques, surtout sous opiacés, catatonies, catalepsies, séances S.M (etc.).
Imaginez que vous soyez dans un train fantôme qui roule à vive allure tout en croisant au détour des virages des portraits séduisants de personnages affables qui soudain semblent se détacher et viennent vers vous en grimaçant atrocement les yeux blancs exorbités et des dents de vampires: telle est notre situation médiatique ; de tels personnages viennent avec le sourire vous égrener les faux chiffres du jour, mais si vous avez le malheur de douter alors ils se transforment en monstres brusquement avec les mots d’usage : “où sont les preuves ? Espèce d’égoïste, rassuriste, extrême droite, raciste, islamophobe, sioniste, complotiste, néo-libéral”, comme s’ils étaient juges, infectiologues, altruistes, comme s’il suffisait de prononcer ces quelques formules de sorcellerie (magie “noire”?) mâtinées de “milliards” (Fondations Soros, Gates, planches à billets des Banques Centrales) pour qu’elles deviennent “vraies”…Comme s’il fallait masquer qu’autre chose se trame en réalité, la Matrice bouge dans les tréfonds, la Manip s’accélère, au-delà de la bêtise et de l’orgueil ces deux mamelles permanentes des vaniteux au visage d’ange…
Tout ceci relève de plus en plus, dans les faits, de la monstruosité; elle se révèle ainsi brusquement aujourd’hui, les masques tombent, au moment même où il est exigé d’en avoir (et ce en permanence pour certains) ; nous ne sommes désormais plus dans l’analyse classique des “causes et des effets” de leur agrégation fortuite ou systémique; d’ailleurs, cela n’a pas été encore fait pour les crimes communistes et nazis, l’analyse tératologique en effet manque toujours : comment des sociétés si civilisées comme la Russie, l’Allemagne et la France ont-elles pu basculer dans la barbarie au nom du Bien, de l’égalité (du respect d’autrui tout autant) telle que désigner les “riches”, les “juifs”, étrangers ou non, les artistes et libres penseurs, comme source ultime du “mal” dit “moderne” : la liberté de conscience ? L’Allemagne nazie ira plus loin dans la monstruosité, si l’on admet (avec Raymond Aron) que chambre à gaz et camp de travail ce n’est tout de même pas la même chose, même si l’esprit totalitaire s’insinuant en lieu et place des consciences ronge identiquement (comme le soutenaient Hannah Arendt et Ayn Rand).
Aujourd’hui, il n’y a pas d’autres mots que monstruosité érigée en rang de politique de “déconstruction” lorsque l’on implose réellement, sciemment, une économie urbaine et sa société relationnelle qui en est la matrice (bars, restaurants, dancing, cinémas, théâtre, comme dans les sociétés rigoristes musulmanes avec le masque comme point de jonction) lorsque les médecins (ceux qui n’ont pas de conflit d ‘intérêts) sont considérés comme des moins que rien avec l’interdiction de prescrire, lorsque les spécialistes indiquent que le confinement et le masque font bien plus de mal que de bien, surtout lorsque cela concerne des gens bien portants qui devraient stimuler plutôt leurs fonctions immunitaires par le sport une vie sociale active et chaleureuse, et ce à tous âges et dans tous les domaines (tout en ayant un système de santé à niveau) la notion de “besoin essentiel” étant surannée, surtout pour une société se prétendant “lettrée”…
Avoir banni par exemple le livre considéré comme “non essentiel” (sauf commandé sur Internet) avoir laissé des gens âgés à l’abandon sans rien leur donner, sinon des médicaments palliatifs, empêcher la vie humaine de se dérouler tout simplement, relève de plus en plus non seulement d’une ignorance crasse, mais d’une cruauté perverse, celle de la monstruosité à l’état pratiquement pur, que l’on a vue à l’oeuvre de manière certes plus brutale naguère (supra) sauf qu’aujourd’hui il faut sauver les apparences, montrer par vanité également une “supériorité” avec le passé, que nous aurions” compris”, le travail de “mémoire”, et puis ne sommes-nous pas dans la “post citoyenneté” ou la philosophie globalisée du “care” à savoir la réduction de l’individu à un “corps” (de coordonnées) de stimulus, sa matière doit donc être manipulée avec plus de précaution, de souplesse (car les “réactions” peuvent être surprenantes: boulangisme, poujadisme, aujourd’hui “populisme” et ses gilets jaunes…).
Mais tout cela reste de la “com”, en plus pernicieux, comme dans Soleil vert : la mise à mort se fait sur grand écran, les Quatre Saisons de Vivaldi en musique de fond, tandis que s’écoule dans les veines la substance mortelle du suicide programmé (le confinement et l’hypocrisie de la distanciation “sociale”)et que défilent au ralenti animaux et nature désormais réservés.