Mieux vaut être churchillien au sens de non seulement défendre le “pire des systèmes…” mais attaquer aussi tous ces bonzes de la Caste sectaire qui de plus en plus se considèrent comme des artistes maudits avec nous comme matière à modeler d’où l’aveu en sous-main: l’autre culture, musées, cinémas, théâtres, tout cela reste révolu ; cela a été remplacé par les séries et films “colonne vertébrale” rôles et masques en veux-tu en voilà…la “vraie” culture, elle, c’est justement transformer le réel humain en “choses” masquées mais vaccinés au sens populaire d’être “insensibilisé”… Ce qui permet alors à la dictature “climato-sanitaire” de s’installer insidieusement.
Comment croire un seul instant au sérieux de ces clowns tristes qui “nous” gouvernent ? Même leurs “opposants” ne sont que des simulacres, vaines marionnettes elles aussi maintenues sur la scène avec de grosses ficelles telles celles hurlant contre la (les) tribune(s) des militaires en remontant encore plus loin que le “putsch d’Alger” vers “1936” où il aurait été question de “préférer Hitler au Front Populaire” ce qui est oublier le vote socialiste des pleins pouvoirs à Pétain le pacte hitlero-soviétique avec demande insistante à ce que la presse communiste puisse continuer à paraître, et le fait que beaucoup de patriotes de l’époque préféraient le “ni Hitler ni Front Populaire” on ne comprendrait pas la possibilité même d’un “18 juin” sinon…
Mais les marionnettes aujourd’hui dans l’opposition n’ont “que faire” de ce genre de vérités historiques tant leur ego surdimensionné par des années (voire des décennies) de pantouflage “parlementaire” (une Chambre qui n’a rien de “churchillienne”…) refusent de voir qu’elles ne sont rien d’autre que des cautions synthétiques encore présentes parce que l’intelligence artificielle n’a pas fait encore suffisamment de progrès pour les fabriquer à la chaîne…
De toute façon ce n’est pas nécessaire: le règne de l’hyperréalisme fait rage, les actuels simulacres au pouvoir se font encore plus robots que les robots à débiter leur âneries sanitaires ou économiques (les taux d’intérêts à zéro et la planche à billets alimentent la flambée de la spéculation boursière) devant un parterre médusé hypnotisé tétanisé sidéré malgré les ruades tout de même de quelques-uns, une poignée grandissante cependant tentant de secouer cette torpeur totalitaire qui au nom du climat et de la viande (nous) qui “doit” être non avariée pour la consommer sur toutes les coutures (même enfantines) essaime toujours son gaz même pas hilarant. Pendant ce temps les policiers tombent et les racailles soutenues par les canailles d’en Haut ricanent.