Qu’est-ce qu’un ” nouvel oppresseur”? Une personne qui a le toupet de dire qu’il vous oppresse pour votre bien et si vous n’obéissez pas c’est que vous êtes “égoïste” ou comment vous transformer en nouvel esclave qui n’aimerait plus l’autre “comme soi-même” mais à la place de soi-même, ce qui est, strictement dit, la définition même de l’esclavagisme, mais édifié sous une nouvelle liturgie.
C’est en fait une régression historique, d’une ampleur inégalée, avec comme nouveaux maîtres toute une ribambelle d’archontes vidéocrates refusant de vieillir (et donc de mourir tout en laissant crépir sans contact les aînés n’ayant pas leur pouvoir de nuisance) sommant alors les médecins de ne pas soigner avec des traitements précoces ayant maintenant un an et demi d’expérience, forçant les enfants à porter des muselières non pas pour les protéger mais parce qu’ils seraient susceptibles de les “contaminer” ( ce qui est bien sûr faux comme l’indique cette étude de l’Institut Pasteur, mais quand bien même, puisque nous avons des traitements) le tout au nom d’une complète inversion des priorités comme l’explique très bien cette “nouvelle Ève“, Marie-Estelle Dupont, qui montre parfaitement dans cet entretien avec Maître Di Vizio comment la “Connaissance” est devenue ce nouveau “fruit défendu” celle qui permettrait de comprendre en quoi stimuler notre vie affective et sociale renforce nos systèmes immunitaires que précisément les confinements absolus ou parcellaires (comme le refus de ré-ouvrir les salles de sport, les piscines, les dancings) empêchent.
Dans quel but ? Puisque nous savons de plus en plus que ce qui est appelé “vaccin” et qui s’apparente bien plus à une thérapie génique expérimentale (TGE) n’a qu’une autorisation provisoire et n’a qu’un effet placebo en réalité puisque les courbes de contamination et de mortalité ont baissé bien avant cette pratique médicamenteuse et que celle-ci loin d’être le Nirvana promis semble faciliter la propagation de ce qu’elle est censée combattre alors que nous avons de plus en plus tous les médicaments qu’il faut.
Les nouveaux oppresseurs exigent ainsi une mise en esclavage nouveau genre (si tu ne te sacrifies pas pour moi tu es un égoïste) à la façon des prédateurs psychopathes constituant les sectes: des Gourous affublés toujours d’une sorte de supra-connaissance médicinale alors qu’elle s’avère si désuète au sens d’être en réalité bien peu au fait des approches synthétiques réellement nouvelles qu’indique Marie-Estelle Dupont (supra) alors qu’elles sont dotées d’une littérature de plus en plus abondante quant aux rétroactions psychosomatiques vie psychique et vie biophysique, mais qui se trouve toujours écartée par les approches scientistes profitant encore actuellement de l’échec de la psychanalyse freudienne et du rejet des médecines dites alternatives (naturopathie, homéopathie, ostéopathie) pour revenir à une médecine symptomatologique de type neurochimique (antidépresseurs à tout va) et bio-physique (thérapies géniques) ou de l’extrême à l’autre…
Ainsi, au nom du rejet du physicalisme propre au début du XX° siècle avec sa camisole chimique et l’électrochoc la psychanalyse freudienne s’était en effet sentie toute puissante à croire qu’elle pouvait tout expliquer des interactions psychosomatiques par le traumatisme infantile (alors qu’elle éludait l’analyse janétienne bien plus pertinente car ne se basant pas uniquement sur le traumatisme supposé du refoulement de l’inceste mais sur l’analyse globale de la névrose pensée comme difficulté à accepter de “grandir” surtout si les parents n’aident pas pour ce faire) mais ayant échoué (malgré la restauration lacanienne visant à travailler sur le langage du patient imitant là la voie tracée par Wittgenstein et Quine) se sont développées en réaction les thérapies dites comportementales cherchant à proposer des solutions rapides et concrètes aux troubles divers de la conduite, tout en renvoyant à nouveau à la biophysique le traitement plus lourd ne serait-ce par exemple que traiter une rupture amoureuse par des tranquillisants afin d’oublier et de se neutraliser alors qu’une introspection (accompagnée) sur ce qui a engrangé la rupture serait bien préférable, même si c’est plus long…
Mais aujourd’hui loin de prendre son temps et dans la hâte de la relation “jetable” si cela ne “fonctionne” pas (d’où les ruptures à répétition) l’on s’immunise en quelque sorte contre la souffrance de l’échec en s’insensibilisant et partant en réduisant ses capacités d’analyse permettant la régénération par la consommation médicamenteuse d’anxiolytiques…(Et de drogues diverses plus ou moins légales…)
C’est ce qui pourrait expliquer alors la passivité massive actuelle de toute une population sevrée à ce processus et qui accepte masques et pseudo “vaccins”; faisant ainsi confiance au fond à une pratique biophysique qui somme toute l’aide à ne pas se poser de questions, surtout pas, rejetant le “psy” à la poubelle, daignant cependant maintenant ouvrir un œil sur quelques pratiques de bonne nutrition mais ce moins parce que cela renforce le système immunitaire et bien plus parce que cela forge une pseudo-personnalité dans ce souci absolu de se différencier du “beauf” gilet jaune avec son diesel, pastis, barbecue…
Les nouveaux archontes globalisés sans frontières n’ayant comme identité que la plastique instituée par chaque instant (Terminator III) ont ainsi bien compris qu’ils pouvaient d’autant plus accentuer leur emprise sectaire que le nouvel esclavagisme médicamenteux était donc déjà bien en place voilà semble-t-il ce qui pourrait aussi expliquer l’absence actuelle de révolte ; l’opportunité d’une infection, atypique pour une part, contagieuse mais guère létale si l’on ne manipule pas les chiffres, articulée à un contexte “vidéo-javelisé” c’est-à-dire occultant le réel pour sa simulation télévisuelle, ce “tout” aura permis cette hypnose longue créant un fanatisme tel que critiquer les injonctions de cette Secte néo-hygiéniste (et affairiste) revient à être immédiatement poursuivie par ses coupe-jarrets à l’instar des drones tentaculaires dans Matrix à la recherche des dissidents.
Il n’est alors guère étonnant d’observer comment des générations de pseudo-intellectuels et autres journalistes autrefois étiquetés de “rebelles” basculent dans la traque totalitaire de la critique vaccinale puisqu’elles ont été forgées par cette pratique de prise d’opiacés plus ou moins estampillés “médicaments” ; le tout s’effectuant également au nom du refus d’admettre que la dynamisation de l’interaction corps-esprit peut susciter des alternatives alors que leurs écoles de pensée refusent cette possibilité même; les unes et les autres ayant en effet comme point commun d’indiquer que l’individu humain n’est “rien” sans le milieu qui le forge : pour les uns ce sera par exemple l’Etat, pour les autres le conditionnement culturel, pour d’autres “l’origine” qu’elle soit ethnique clanique religieuse, ce qui expliquerait aussi pourquoi la Secte hygiéniste (et affairiste) au pouvoir reçoit le soutien des Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon : tout en ayant des différences formelles (mais non négligeables) sur la quantité à accepter de tel ou tel élément comme la frontière, l’immigration (Zemmour est aussi dans cette mesure là de la “quantité”) ils partagent un fond commun celui d’une soumission de l’individu à l’État (post-gaulliste) censé agir pour notre “bien”; l’individu étant réduit à un organisme biologique socialisé, “construit”, au sens d’avoir plus ou moins d’autonomie selon les obédiences de ces environnementalistes, mais désuets en réalité, car supplantés désormais par les nouveaux au pouvoir et au “queer” bien plus souple, plus plastique (Terminator III là encore) et ne percevant plus les pixels du réel que par ceux qu’elle implante: toutes ces statistiques qu’elle a elle-même trafiquée comme le disait si bien Churchill.
Une tâche immense nous attend pour s’en débarrasser. Qui “nous” ? Telle est (toujours) la question.